Ma bibliothèque

ENFANTS :

Pour les tout-petits : Mon grand livre d’images Deyrolle – Gründ – 2021

– Observation : Ecoutons la forêt – Larousse – H. Millancourt – 2021

Dès 8 ans : Les sabots de PetitJean – Jean de Fontfraîche – H. Coudrier – Elor – 2021

– A partir de 12 ans : L’imagier de la reine – L. Mahler – Bulle d’Or – 2021

 

ADULTES (à partir de 16 ans) :

– Vie chrétienne : La sainteté de la femme – Père P. Doncoeur – Saint Rémi – 2013

– Education : Bébé grandit – Abbé Charles Grimaud – Chiré – 2021

– Spiritualité : Le fidèle serviteur – R.P. de la Chevasnerie – Saint Rémi – 2021

Réflexion : La modestie chrétienne – Dom Maréchaux – Le Sel – 2014

Enseignement de l’Eglise : A propos du vêtement masculin porté par les femmes – Cardinal Siri- Ass. Saint Jérôme – 2012

– Histoire : La liste de Kersten – Un juste parmi les démons – Fayard – 2021

 

Pour compléter cette liste, vous pouvez vous renseigner sur les Cercles de lecture René Bazin : cercleReneBazin@gmail.com  (à partir de 16 ans- Culture, Formation)

 

La Revue : « Plaisir de lire » propose un choix de nouveautés pour toute la famille (distraction, histoire, activités manuelles) Envoi d’un numéro gratuit à feuilleter sur écran, à demander à : PlaisirdeLire75@gmail.com 

 

Rongée par la peur…

Témoignage 

  Jusque l’an dernier j’étais rongée par la peur… Peur de ne pas être comme les autres, peur de ce qu’on allait penser de moi, peur d’avoir la réputation d’être « tradi coincée » à ne jamais vouloir mettre de pantalons ou de jupes courtes… De concession en concession, les mois passaient mais j’avais toujours peur : il fallait toujours plus ! Un jour, je me suis regardée dans la glace et je me suis dit : « Vraiment, tu as beau t’habiller comme les autres, essayer toutes les formes, en fait, tu ne te sens jamais bien, tu n’es jamais à ton avantage… Pourquoi essayer d’être comme tout le monde alors que tu es différente ? Es-tu obligée de renier tout ce que tu es pour imiter les autres ? N’es-tu pas, toi aussi, une femme douée de personnalité, un peu artiste aussi parfois ; tu as des idées originales et tu n’oses pas les assumer ! Si tu essayais d’être « toi » ? Si tu arrivais à te moquer de ce qu’on va penser de toi ? » Là, c’était le premier pas ; le petit germe qui se mit à pousser dans mon cerveau… Et petit à petit, je me suis sentie libérée, libérée de cet esclavage dans lequel j’étais entrée moi-même et volontairement ! Quelle idée… Mes yeux se sont ouverts ! Et maintenant je peux vous dire que je me sens complètement libérée. Voilà la vraie libération de la femme ! Petit à petit j’ai revu toute ma garde-robe ; je me suis aperçue qu’en fait le « qu’en dira-t-on » m’imposait un uniforme ! J’ai demandé à une amie de m’aider et nous nous sommes mises toutes les deux à la couture mais j’ai trouvé aussi, dans les magasins, des robes que nous avons arrangées à notre goût et maintenant je me sens bien ! J’ai mon style et j’en suis fière ! J’ai remporté une victoire sur moi-même et je crois même que toute ma personnalité en a bénéficié.  Et pour finir, je dois aussi vous dire que maintenant j’ai l’impression d’être en cohérence avec mon âme. Et ça, c’est vraiment le bonheur !

 

Une lectrice de FA

Lettre à ma fille

          

 Ma petite fille chérie,

   Te voilà au seuil de tes 15 ans, un peu éblouie par cette vie qui s’ouvre devant toi. Sera-t-elle une épopée magnifique, qu’il nous est donné de vivre une fois seulement, chaque minute remplie à pleins bords ?

 Si Péguy, notre légendaire poète, pouvait encore tenir sa plume, peut-être écrirait-il ces mots :

– « Moi, dit Dieu, comme Mes enfants les hommes, J’aime Me souvenir, Me bien souvenir, de Ma si belle Maman, de Ma si priante Maman, de Ma si jeune Maman, de Ma Maman de 15 ans en son Annonciation. »

 

  Sais-tu que le Bon Dieu a une prédilection particulière pour toutes les jeunes filles qui Lui rappellent tellement ce qu’était Sa Maman, si elles le veulent bien.

 

  La vois-tu, la toute jeune Notre-Dame, portant modestement son amphore, saluant discrètement les passantes, consolant telle voisine dans la peine, recueillie en Dieu au milieu du brouhaha des marchands ambulants, si digne et simple, si noble et modeste, si majestueusement humble. Quelle merveille que cette jeune fille de Judée.

   A toi, ma petite fille, qui rêves beauté et idéal, il est possible de par ta nature féminine, d’imiter, de continuer les vertus de cette si belle Souveraine. Oh ! cette imitation sera bien pâle sans doute – nous sommes si faibles – mais, quel honneur de mettre nos pas dans ceux de notre Reine !

   Imite-la par ton attitude faite de simplicité et de respect de toi-même, par tes regards, purs et bienveillants, par ta tenue, digne, élégante et … catholique, tout bonnement. Ne nous leurrons pas, aujourd’hui, il est des vêtements qu’une chrétienne ne peut pas endosser. Noblesse oblige ! Une baptisée ne se dénude pas avec l’impudeur des malheureuses sirènes de Satan.

  « Mais tout le monde s’habille ainsi… Je vais être très différente des autres… L’on va se moquer de moi… Et puis, l’on doit vivre à son époque… »

   Oui nous vivons à telle époque et non aux siècles précédents ; mais quelles que soient les séduisantes tentations auxquelles nous avons à faire face, n’oublions jamais que nous marchons derrière un Roi crucifié, Lui-même haï par Satan et son épouvantable clique. Et nous, nous craindrions qu’être reconnues chrétiennes, une malheureuse raillerie nous abattrait, pour un bout de chiffon douteux, nous flancherions ?

   Allons ma petite fille chérie, haut les cœurs !

  Montre-toi digne des héroïnes dont la vaillance fait vibrer tes 15 ans : chrétiennes sous la dent des fauves, sainte Jehanne d’Arc, filles du Roy en Nouvelle-France traversant l’océan pour affermir la présence française dans ces contrées lointaines, Vendéennes se dressant aux côtés de leurs frères et leurs maris face aux hordes sauvages de la république, innombrables femmes et jeunes filles dont le courage quotidien a tissé notre France.

   Courage donc, que Notre-Dame éclaire ta route.

  « Mère, je vous en supplie, faites qu’en me voyant, ils Vous voient, Vous. »

 

  Je t’embrasse de tout mon cœur,

 

Maman

 

 

 

 

Revêtu de la croix

           Fermez les yeux et imaginez. Noël 1247. La grande nef de la cathédrale de Notre-Dame de Paris. On devine les piliers dans l’obscurité qui portent la grande voûte de pierres, invisible, mais on la sent envelopper l’édifice de sa lourde chape jetée dans les hauteurs. Elle caresse le ciel. Au-dessus, les grandes tours qui transpercent le ciel comme la lance transperça la Victime parfaite sur la Croix pour répandre son précieux sang sur le monde. Les chevaliers et barons se présentent à l’appel du roi saint Louis. Des chanoines leur donnent un grand manteau, comme le veut la tradition : le roi offre une lourde cape de fourrure de vair à tous ses barons et officiers de cour. Les hommes d’épée la revêtent en silence, puis s’avancent dans la nef. Le roi porte la même cape, comme ses hommes, serviteur parmi ses serviteurs. Les psaumes des matines enveloppent l’assemblée, chant éternel, c’est la prière de l’Eglise qui honore Dieu et lui fait pencher la tête sur la misère de l’humanité. Le temps semble suspendu. Avec les laudes, le soleil levant pénètre dans le grand vaisseau de pierres, teinté des couleurs des immenses vitraux qui chantent le saint peuple de Dieu. La lumière découvre les piliers, les chapiteaux, les voûtes, les arceaux… et dévoile la croix cousue de fils d’or sur les capes des chevaliers. Le roi l’a faite coudre sur l’épaule droite des manteaux qu’il a donnés. Personne n’ose l’enlever, personne n’ose se dédire. La croix fait le croisé. Le soleil de la vigile s’était couché sur une armée de chevaliers, le soleil de la Nativité se lève sur une armée de croisés.

 

  Ainsi sont les hommes : il faut des signes extérieurs pour exprimer les grandes choses et l’œuvre de la grâce. Là est toute la sagesse de Dieu. Les sacrements sont des signes sensibles qui donnent la grâce. Sans ces signes, nous ne croirions pas. Nous avons besoin de toucher et de voir pour sonder l’insondable, pour nous attacher un idéal de vie. Un croisé sans la Croix portée sur sa tunique ? Un moine sans robe et scapulaire ? Une religieuse sans voile et rosaire pendu à sa ceinture ? Une église sans cloche ? Impensable ! Tout doit être incarné, sans quoi tout reste trop abstrait, intouchable, inatteignable. Dieu Lui-même s’est fait homme pour que nous puissions Le voir et Le toucher, et même Le manger. Mais les laïcs seraient-ils exclus de cette règle ? Non, bien sûr que non. Un catholique doit porter la grâce dans toute sa tenue : ses paroles, ses attitudes et ses vêtements, il doit refléter modestie, politesse, charité, douceur, humilité et beauté de Dieu.

 

  Nous vivons une époque fascinante : un catholique qui reste profondément catholique en 2021 est un croisé dans son âme. Certes, nous ne portons pas d’épée ni n’avons de puissants destriers lancés sur les sables du Levant, mais nous portons notre foi comme un étendard dans le vent, à la face des hommes, pour la gloire de Dieu. Sans âme de combattant, nous serions emportés par les flots de notre société déchristianisée. Comme le croisé porte la croix, le catholique en 2021 porte sa Foi, non pas sous le boisseau, mais comme une torche crevant les ténèbres. S’il est plus difficile de rester fidèle à notre époque, il est d’autant plus facile de devenir un saint. Maintenir est déjà héroïque. Comme cela est enthousiasmant ! Nous sommes des croisés, les derniers Justes qui empêchent les foudres de Dieu de faire pleuvoir le feu et la cendre sur la France. C’est comme cela qu’il faut vivre notre Foi aujourd’hui : comme une croisade, la quête de la sainteté dans un monde livré à Satan. Cette croisade passe par le vêtement, reflet de notre âme régénérée par la grâce sanctifiante.

 

  Dans cette croisade, le père de famille a une place particulière. Comme le roi revêtit ses barons de la Croix, le père de famille a une responsabilité pour que ses enfants aiment et revêtent l’attitude du chrétien. Dieu jugera les chefs plus lourdement que tous les autres. Ainsi, si le père démissionne et ferme les yeux sur les attitudes et tenues de ses garçons et filles, Dieu lui demandera des comptes. Messieurs, un peu de courage ! Ne battez pas en retraite ! Votre fille descend un matin avec une tenue scandaleuse ? Renvoyez-la se rhabiller. Vos filles ne sont pas des tas de chair à vendre au marché, même si elles sont jolies. Elles sont des enfants de Dieu avec une âme qui a coûté le prix du sang de Notre Seigneur Jésus-Christ, des âmes destinées à contempler Dieu dans l’éternité. Votre fils se présente pour la messe du dimanche mal rasé et en tee-shirt ? Renvoyez-le se raser et passer au moins une chemise, mieux, une cravate ! Il n’est pas une de ces idoles masculines actuelles, féminisées et pleurnichardes. Non, il est un fils de Dieu, destiné au courage et au sacrifice, au commandement et au don de soi pour devenir un saint, un réceptacle vivant de la gloire de Dieu pour la faire briller sur les hommes et la cité. Va-t-on en croisade sans la Croix ? Pouvons-nous être profondément chrétien si nous nous accommodons avec l’immodestie et la vulgarité ? Non !

 

  Pères de famille, endossez votre rôle de chef. N’attendez pas l’adolescence, veillez dès l’enfance à la bonne tenue de la famille : les bonnes habitudes, comme les mauvaises, se prennent tôt. Faites-le avec amour et douceur. Interdire ne suffit pas. Il ne fera que susciter incompréhension et révolte à l’adolescence. Il faut d’abord encourager et complimenter. Quand votre femme et vos filles sont joliment et décemment habillées, dites-leur qu’elles sont belles ! Car c’est tout simplement vrai. Veillez à ce qu’elles aient de jolies choses à mettre. Nous n’empaquetons pas nos filles dans des sacs de jute pour pommes de terre, et nous n’étalons pas leur chair à la vue de tous, au milieu se trouve une ligne de crête sur laquelle marchent toutes les filles et les femmes qui rayonnent de la beauté des grandes âmes. Sortez votre carte bleue s’il le faut ! Il existe beaucoup de possibilités aujourd’hui de trouver des vêtements, même à petit budget : couture, seconde main, braderies, ou sur internet, etc. Enfin, le plus important, quand votre femme et vos filles sont jolies, dites-le leur !

 

  Pères de famille, rappelez-vous : Dieu est notre père à tous, et vos enfants se feront une idée de l’amour de Dieu, leur père du Ciel, à travers vous qui êtes leur père de la terre. Soyez patients, fermes et doux, encouragez et complimentez, reprenez s’il le faut, mais surtout, aimez vos filles et votre femme ! Elles valent mieux que toutes celles qui malheureusement errent dans les ténèbres de la luxure.

 

  Enfin, une dernière chose : l’habit est le reflet de l’âme. Une belle âme mettra de beaux vêtements, une âme sèche et sans profondeur ira plus facilement se réfugier dans les artifices du monde, et cela se verra dans le vêtement. Alors nourrissez les âmes de vos enfants, garçons et filles. Nourrissez-les de grands idéaux, de belles histoires, d’activités saines, de passions incarnées et réelles, de moments familiaux riches et simples, promenades, veillées, chants, pêche, potager, randonnées en montagne. Nourrissez les âmes de vos enfants ! Alors, ils auront faim et soif de beauté, et ils iront se désaltérer à la source de toute beauté : Dieu. Ils seront les saints et les croisés de notre temps. Et qui sait ? Peut-être Dieu les appellera-t-Il à son service pour sa plus grande gloire. Prêtre, moine, religieuse : la plus grande et la plus belle des aventures. Sursum corda !

 

Louis d’Henriques

 

Les rhinites saisonnières

           Avec la venue de l’automne, arrivent aussi les premières manifestations du froid : obstruction nasale, enrouement, douleurs de gorge, toux, fièvre, pour ne citer que les signes les plus courants. Il me paraît intéressant de faire un petit tour d’horizon des principales affections que nous pouvons rencontrer en cette saison en commençant tout d’abord par un organe des sens qui nous est particulièrement indispensable : le nez.

 

  Les premières consultations médicales de la saison, commencent par cette question du nez bouché.

Le nez bouché est l’obstruction des fosses nasales par une muqueuse qui est inflammatoire : c’est la congestion nasale qui est due à une inflammation de la muqueuse des fosses nasales.

 

Tout d’abord, un petit rappel d’anatomie :

  Les fosses nasales sont les cavités situées au-dessus du plafond de la bouche (palais) et entourées d’autres cavités appelées sinus : sinus frontaux, sinus maxillaires. Elles communiquent avec le nasopharynx qui est la partie supérieure de la gorge (pharynx) à l’arrière de la bouche.

 

Quelles en sont les causes ?

  Les fosses nasales et les sinus sont recouverts d’une muqueuse qui sécrète continuellement du liquide. Ce liquide humidifie l’air inspiré, piège les poussières et contribue à lutter contre les agents infectieux.

Lorsque cette muqueuse est irritée, elle gonfle et sa sécrétion augmente, de sorte que le nez coule : c’est le Rhume, encore appelé Rhinite ou Coryza.  Les virus qui en sont responsables se transmettent d’une personne à une autre, le plus souvent par les mains ou des objets contaminés. Après la contamination, le rhume se déclenche plus facilement en fonction de divers facteurs tels que des défenses immunitaires affaiblies (période de stress ou de fatigue) ou des conditions environnementales (froid, humidité, fumée de tabac).

 

Comment prévenir le rhume ?

– S’habiller chaudement pendant la saison froide.

– Aérer régulièrement les chambres, même en hiver et humidifier l’air ambiant si nécessaire.

– Entretenir sa forme physique avec une activité physique régulière.

– Utiliser des vitamines comme la vitamine C, naturelle de préférence, que l’on trouve dans les fruits : oranges, citrons, kiwis, pamplemousses, acérola.

 

Si le rhume est déclenché, comment le traiter ?

  Si le nez coule ou bien s’il est bouché, il y a plusieurs choses à faire :

– On peut d’abord utiliser des huiles essentielles (Thym, Eucalyptus, Pin sylvestre, entre autres) et en mettre quelques gouttes sur un mouchoir que l’on respire régulièrement au cours de la journée.

– Ensuite, les inhalations : elles se font avec un grand bol d’eau chaude mais non bouillante dont on va approcher sa tête recouverte d’un linge comme une grande serviette et dont on va respirer les vapeurs. Mais respirer des vapeurs d’eau chaude seule, n’a pas grand intérêt ; il faut y ajouter quelques gouttes d’huiles essentielles (déjà citées) en mélange, ou bien utiliser des préparations toutes prêtes comme le Vicks Vaporub ou le Pérubore (il y a bien d’autres produits).

– Pour ceux qui ne sont pas des fervents des inhalations, il y a les sprays nasaux qui s’utilisent en pulvérisations dans le nez, deux à trois fois par jour (attention aux abus qui entraînent souvent des effets contraires). Ce sont des sprays nasaux à la Propolis ou à l’eau de mer qui ont une bonne efficacité et que l’on peut se procurer sans ordonnance, en magasin bio ou en pharmacie.

Il y a également toute une gamme de sprays nasaux à base de vasoconstricteurs et de corticoïdes, sur prescription médicale, dont l’efficacité est reconnue mais qui nécessitent quelques précautions d’utilisation.

 

  Pour les tout-petits, le nettoyage des fosses nasales est recommandé avec du sérum physiologique sans utiliser d’autres produits (même des huiles essentielles) qui seraient trop agressifs pour ces muqueuses fragiles. Les mouche bébés sont aussi bien utiles.

 

  Il ne faut pas oublier également la place de l’homéopathie dans la prévention de ces rhinites avec un produit simple : Influenzinum 9 CH, une dose (soit 10 granules) par mois, pendant les mois d’hiver jusqu’au printemps.

 

  Ces quelques considérations sur les rhumes ne sont pas exhaustives. Il existe bien des produits, des baumes, des tisanes, des formules, connues par certaines familles et transmises au cours des générations qui ont su faire la preuve de leur utilité et de leur efficacité et que chacun est libre d’utiliser comme par le passé.

 

Dr Rémy