A quoi sert le sourire?

A quoi sert le sourire ?

« La plupart des parents ne savent pas les richesses qu’ils perdent pour eux-mêmes et pour leurs enfants à ne pas leur sourire. Le sourire adoucit, calme, apaise, encourage, stimule, tonifie. C’est comme un rayon de soleil. Et puis, cela est si facile quand on a compris son importance, même si cela coûte un peu, et cela rapporte tant ! Quel dommage de s’en priver !

Aimons à raconter aux enfants les apologues des deux grenouilles ou de la rose :

Deux grenouilles allaient de concert à travers la campagne ; et voici qu’elles tombent dans une jatte de crème. La première, désespérée, renonce à la lutte et en coassant : « Je me noie, je me noie », périt asphyxiée. La seconde lutte avec énergie, rame de toutes ses forces… si bien qu’elle transforme la crème en beurre et arrive à s’en sortir…

C’est dès les premières années qu’il faut habituer l’enfant à sourire de tout : à ses parents, aux amis ; mais aussi à la vie avec ses contrariétés, ses difficultés, ses obstacles. »

Père Gaston Courtois

La femme, une créature inutile?

La femme, une créature inutile ?

     « La femme est responsable devant Dieu de ce que sa nature soit capable d’introduire partout la vie de l’esprit que Dieu a mis dans son âme. Voilà sa responsabilité. (…) Le monde moderne manque d’esprit féminin même physiquement parlant. On voit trop souvent des visages de femmes dont le miroir spirituel n’existe plus, ni dans l’expression, ni dans la parole, ni dans les regards ; trop de femmes n’imposent plus l’éblouissement de l’esprit émanant le charme du cœur selon Dieu, l’autorité d’une présence située au-delà du charnel, selon l’esprit d’amour. Car l’amour sans l’esprit est un miroir brisé. Mais me dites-vous, on ne peut pas aller là contre l’évolution sociale de la libération de la femme, c’est tout de même quelque chose… Et oui, (…) mais c’est grave de renoncer à sa nature de femme parce que non seulement c’est manquer à sa mission mais c’est mettre la pagaille dans la mission de l’homme. (…) La femme est le courant, celui qui vient de Dieu : le courant d’adoration et de sacrifice, le courant qui conseille et le courant qui soulève, le courant qui entraîne vers les hauteurs. (…) C’est la spécialité de son esprit de faire tenir debout cette cathédrale qu’est le foyer, à coups de sacrifices et d’endurance. »

R.P. de Chivré

Croque Picardière

Pour un délicieux petit dîner d’hiver à deux…. très rapide et facile à faire…

 Les Croque Picardières :

Ingrédients pour 2 personnes : 4 cuil. à soupe de crème fraîche -Vin blanc sec – 1 petit Maroilles –  50 g de gruyère râpé – 2 tranches de jambon – 4 tranches de pain grillé

Préchauffez le four à 180°C.  (Th 6). Dans le plat à œufs légèrement beurré, poser une tranche de pain grillé. Ajouter sur le pain grillé un peu de fromage râpé et la tranche de jambon. Déposer les tranches fines de Maroilles et une nouvelle couche de fromage râpé. Arroser le tout de 1 cuil. à soupe de vin blanc. Napper d’une cuil. à soupe de crème fraîche. Cuire au four en laissant gratiner 15 minutes.

BON APPÉTIT !!!

Galette des rois

Ingrédients pour 8 /10 personnes : 2 œufs – 80g de sucre – 120 g d’amandes en poudre – 60 g de beurre – 2 cuil. à soupe de rhum –  2 sachets de sucre vanillé – 1 cuil. à café d’amande amère – 2 pâtes feuilletées – 1 jaune d’œuf pour dorer. Préchauffer le four à 210°C (Th. 7) Mélanger dans l’ordre tous ces ingrédients. N’oubliez pas la fève…. Déposer la pâte obtenue sur la 1ère pâte feuilletée et recouvrez le tout par la 2nde  en soudant bien les bords. Etalez le jaune d’œuf battu au pinceau sur la pâte que vous aurez délicatement quadrillée. Enfournez pendant 30 minutes environ.

Bon appétit !

Petite histoire des arts de la table

Noël est passé avec les belles tables mises en scène pour que la joie d’un bon et beau repas accompagne celle des cœurs et des âmes pour la Nativité.
Dresser la table est un geste quotidien qui s’embellit aux grandes fêtes et qui s’inscrit dans une histoire que bien souvent nous connaissons mal, et dont les us et coutumes se sont enrichis ou appauvris au fil des temps.

Jouons à retrouver un peu leurs origines : Continuer la lecture de « Petite histoire des arts de la table »