Le dépôt confié

Saint Joseph, après Jésus et après Marie, est, du monde entier, l’âme la plus pure et le cœur le plus humble. Aussi le Père et l’Esprit-Saint l’ont-ils choisi comme gardien de l’admirable et unique pureté de Jésus et de Marie. En Egypte, comme à Nazareth, Joseph, le fidèle serviteur a veillé sur le dépôt confié. Puissions-nous veiller avec autant de soin sur toutes les âmes que le Seigneur remet à notre loyauté ! Car pour nous aussi, elles sont un précieux dépôt confié. Quelle faiblesse, si, par négligence, nous le laissions voler ! Quel crime, si nous-mêmes, en une heure de passion ou de faiblesse, nous le dérobions au Seigneur ! Jusque dans l’éternité, sa voix, terrible et douloureuse, retentirait alors dans notre conscience : Rends-moi compte du dépôt que je t’avais confié ! N’as-tu pas laissé ternir par le feu ou la boue l’orient de ce cœur qui ne t’appartenait pas ? As-tu veillé ? As-tu prié ? L’âme de votre enfant est plus précieuse qu’un diamant et c’est Dieu qui vous en demandera compte !

 

R.P. de la Chevasnerie – Le fidèle serviteur

 

La déshydratation

           La déshydratation est une perturbation importante de notre métabolisme ; elle est particulièrement fréquente aux âges extrêmes de la vie, c’est à dire les enfants en bas âge et les personnes âgées. Elle consiste en une perte d’une partie de l’eau de l’organisme ; or, l’eau représente 60% du poids du corps et toute altération de ce secteur hydrique entraîne des anomalies sérieuses. Il est donc important de savoir reconnaître un manque d’eau c’est à dire une déshydratation.

  Dans cette pathologie, c’est le rein qui va permettre de réguler l’équilibre physiologique en retenant l’eau ou en facilitant son élimination ; pour les enfants, le faible volume corporel les rend plus vulnérables à une perte d’eau et pour les gens âgés, c’est le rein vieillissant qui ne répond plus aux nécessités d’adaptation du volume des urines.

Quelles sont les causes d’une déshydratation ?

  Ce sont les circonstances qui vont entraîner une perte d’eau et de sel, par exemple lors de troubles digestifs comme les vomissements ou les diarrhées ; lors de brûlures, et plus la surface brûlée est élevée, plus la déshydratation est importante ; ce sont les traitements par des diurétiques souvent employés chez les personnes âgées ; ou bien lors d’anorexie prolongée ou de décompensation diabétique.

Mais il peut y avoir également perte d’eau pure lors de chaleurs excessives (locaux mal isolés l’été ou surchauffés l’hiver) ; en cas de fièvre élevée, de transpiration, d’hyperventilation ou d’autres pathologies; lors d’incapacité à s’hydrater, comme par exemple, chez des personnes dépendantes ou bien avec des troubles de la conscience ou de la déglutition.

 La déshydratation porte le plus souvent sur une perte globale d’eau et de sel et on distingue, sans entrer dans les détails, une déshydratation intra cellulaire, extra cellulaire ou globale.

 Quels sont les signes de la déshydratation ?

  Les signes que l’on peut observer sont la peau sèche, faisant un pli lorsqu’on la pince, appelé pli cutané ; la sècheresse de l’intérieur de la bouche (beaucoup de personnes âgées respirent par la bouche) ; la fatigue inhabituelle, la perte d’appétit, la perte de poids,  une légère augmentation de la température corporelle appelée fébricule, à 37°8 ou 37°9; des modifications de la tension artérielle avec des épisodes d’hypotension avec chute et malaise.

Les signes de gravité sont l’hyperthermie inexpliquée à plus de 38 degrés, des troubles de la conscience, des difficultés respiratoires, un effondrement des chiffres de la tension artérielle.

Comment prévenir la déshydratation ?

  Voici quelques principes généraux pour limiter les risques :

– Il faut isoler les locaux en cas de fortes chaleurs extérieures et ne pas surchauffer l’hiver ; il faut ouvrir les fenêtres la nuit et les fermer le jour ; tirer les rideaux pour faire de l’ombre.  

– Il faut veiller aux apports d’eau dans la journée et faire boire les personnes fragiles plusieurs fois par jour par petites quantités (eau, thé, café, jus de fruits, eau gélifiée pour les personnes âgées ou des solutions de réhydratation toutes prêtes pour les enfants).

– Dans les situations à haut risque, surtout pour des personnes âgées dépendantes, il est possible de perfuser la nuit par voie sous cutanée sur les cuisses ou l’abdomen.

  La déshydratation est donc une pathologie qui regroupe des signes multiples qu’il faut rechercher chez des personnes dépendantes ou affaiblies. Il faut inviter les patients à boire modérément mais régulièrement dans la journée, en particulier en cas de fièvre.  En présence de signes de gravité, la perfusion intra veineuse s’impose et l’hospitalisation sera alors nécessaire si les moyens humains et matériels disponibles au domicile sont insuffisants pour assurer un traitement adéquat et une surveillance optimale.

Dr. N. Rémy

 

La prière

Chère Bertille,

           La vie sur terre n’est pas un long fleuve tranquille. Il faut se battre pour réussir dans ses études, pour trouver un travail où l’on pourra mettre à profit les talents que le Bon Dieu nous a donnés. Il faut combattre pour ne pas se laisser emporter par les mauvaises amitiés, pour lutter contre les tentations que le démon essaye de mettre sur notre chemin pour nous faire flancher. Le monde sait bien nous rendre addicte de sa mode, de sa musique, de ses films et bien d’autres choses encore. Je voudrais utiliser la suite du texte publié précédemment par le Père Garrigou Lagrange pour te montrer que le soutien, la force tu les trouveras seulement dans la prière. Bonne lecture ! Je te porte bien affectueusement dans mes prières.

Anne

 

« Voyons ce que la prière peut nous obtenir.

  La fin de la vie des âmes c’est le ciel ; à cette fin suprême Dieu subordonne tous les biens qu’il lui plaît de nous départir, car il ne nous donne ceux du corps et ceux de l’âme, que pour la conquête de l’éternité bienheureuse.

  La prière ne peut donc nous obtenir que les biens qui sont dans la ligne de notre fin dernière, dans la ligne de la vie éternelle. En dehors de là elle ne peut rien, elle est trop haute pour nous obtenir tel succès temporel sans rapport avec notre salut. Il ne faut pas attendre d’elle ce résultat, pas plus qu’on ne demande à un ingénieur l’office d’une manœuvre.

  Les biens qui nous acheminent vers le ciel sont de deux sortes : les spirituels, qui nous y conduisent directement, et les temporels, qui peuvent être indirectement utiles au salut, dans la mesure où ils se subordonnent aux premiers.

  Les biens spirituels, ce sont la grâce, les vertus, les mérites. La prière est toute-puissante pour obtenir au pécheur la grâce de la conversion, et au juste la grâce actuelle nécessaire à l’accomplissement des devoirs du chrétien. La prière est souverainement efficace pour nous obtenir une foi plus vive, une espérance plus confiante, une charité plus ardente, une plus grande fidélité à notre vocation. La première des choses que nous devons demander selon le Pater, c’est que le nom de Dieu soit sanctifié, glorifié par une foi rayonnante, que son règne arrive, (c’est l’objet de notre espérance), que sa volonté soit faite, accomplie avec amour, avec une charité plus fervente. La prière est toute-puissante pour nous obtenir le pain de chaque jour, non seulement celui du corps, mais celui de l’âme, le pain supersubstantiel de l’Eucharistie, et les dispositions nécessaires pour une bonne communion. Elle est efficace pour nous obtenir le pardon de nos fautes avec la disposition intérieure de pardonner au prochain, pour nous faire triompher de la tentation : « Veillez et priez, de peur que vous ne tombiez dans la tentation », disait Notre-Seigneur ; pour nous délivrer du mal et de l’esprit du mal, « cette sorte de démon ne se chasse que par la prière et par le jeûne ». (Matth, XVII, 20.)

  Seulement, cela va sans dire, la prière doit être sincère : demander de vaincre une passion sans éviter les occasions, demander la grâce d’une bonne mort sans s’efforcer d’avoir une vie meilleure, ce n’est pas une vraie prière, un vrai désir, c’est à peine une velléité. La prière doit aussi être humble, c’est un pauvre qui demande. Elle doit être confiante en la miséricorde de Dieu, elle ne doit pas douter de son infinie bonté. Elle doit être persévérante pour montrer qu’elle vient d’un désir profond du cœur. Parfois le Seigneur ne semble pas nous exaucer tout de suite, pour éprouver notre confiance et la force de nos bons désirs, comme Jésus éprouva la confiance de la Chananéenne par une parole sévère qui semblait un refus : « C’est aux brebis perdues d’Israël que je suis envoyé…, il ne convient pas de donner aux chiens le pain des enfants. » Sous l’inspiration divine, la Chananéenne répondit : « Pourtant, Seigneur, les petits chiens mangent les miettes qui tombent de la table de leur maître ». – « O femme, dit Jésus, ta foi est grande, qu’il te soit fait selon ce que tu demandes » ; et sa fille, qui était tourmentée par le démon, fut désormais délivrée (Matth., XV, 22).

  Mais si vraiment nous avons prié avec persévérance et si, malgré nos supplications, Dieu nous laisse aux prises avec la tentation, rappelons-nous l’apôtre saint Paul, qui lui aussi supplia à plusieurs reprises pour être délivré de l’aiguillon qui le tourmentait dans sa chair et qui reçut cette réponse : « Ma grâce te suffit pour vaincre », sufficit tibi gratia mea. Croyons avec l’Apôtre que cette lutte nous est profitable, et ne cessons pas de demander la grâce, qui seule peut nous empêcher de faiblir. Apprenons par là notre indigence, apprenons que nous sommes des pauvres, et que l’acte du pauvre consiste à demander. Le chrétien toute sa vie doit mendier les énergies surnaturelles qu’il lui faut pour faire son salut. L’âme humaine ne peut atteindre le ciel que si elle est lancée par Dieu ; mais une fois lancée, il faut qu’elle vole ; la prière est comme le coup d’aile du petit oiseau lancé hors du nid et qui réclame un nouveau secours.

  Quant aux biens temporels, la prière peut nous obtenir tous ceux qui doivent, d’une façon ou d’une autre, nous aider dans notre voyage vers l’éternité : le pain du corps, la santé, la force, la prospérité de nos affaires, la prière peut tout nous obtenir, à condition que nous demandions avant tout et par-dessus tout à Dieu de l’aimer davantage : « Cherchez le royaume des cieux, et tout le reste vous sera donné par surcroît ». Faut-il dire que la prière est inefficace parce que nous n’avons pas demandé ce bien temporel pour lui-même, mais seulement dans la mesure où il était utile à notre salut. Si nous ne l’avons pas obtenu, c’est que nous devons nous sauver sans lui. Notre prière n’est pas perdue, nous n’avons pas obtenu ce bien temporel qui nous était utile, mais nous avons obtenu ou nous obtiendrons une autre grâce plus précieuse.

  La prière humble, confiante, persévérante, par laquelle nous demandons pour nous les biens nécessaires au salut est infailliblement efficace, en vertu de la promesse du Seigneur. Dieu, en effet nous commande de travailler à notre salut. Il ajoute : « Sans moi (sans ma grâce) vous ne pouvez rien faire », « demandez, et vous recevrez » ; demandez-la-moi, cette grâce, je vous la donnerai, je vous le promets. Bien plus, c’est Lui qui fait jaillir la prière de nos cœurs, qui nous porte à demander ce que de toute éternité il veut nous accorder. Si telle prière n’était pas infailliblement efficace, le salut serait impossible, Dieu nous commanderait l’irréalisable ; la contradiction serait en Lui, suprême Vérité et suprême Bonté. Les simples comprennent tout de suite la parole de Jésus : « Demandez et vous recevrez, cherchez et vous trouverez, frappez et l’on vous ouvrira ; qui de vous donnera une pierre à son enfant, si celui-ci lui demande du pain, et s’il lui demande un poisson, lui donnera-t-il un serpent ? Si donc, méchants comme vous êtes, vous donnez de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison votre Père qui est aux cieux donnera-t-il de bonnes choses à ceux qui les lui demandent ! ». Telle est la prière simple et profonde du paysan rentrant du travail, posant sa bêche devant la porte de l’église et entrant pour dire un Notre Père. Quel crime celui qui consiste à arracher cette foi sublime au pauvre, qui par elle se rattache à l’Eternité ! Savoir prier, pour l’âme, c’est savoir respirer.

  La prière est donc une force plus puissante que toutes les forces physiques prises ensemble, plus puissante que l’argent, plus puissante que la science. Ce que tous les corps et tous les esprits créés par leurs propres forces naturelles ne peuvent pas, la prière le peut. « Tous les corps, dit Pascal, le firmament et ses étoiles, la terre et ses royaumes, ne valent pas le moindre des esprits… De tous les corps ensemble on ne saurait en faire réussir une petite pensée, cela est impossible et d’un autre ordre… tous les corps ensemble et tous les esprits ensemble, et toutes leurs productions, ne valent pas le moindre mouvement de charité, cela est d’un ordre infiniment plus élevé… ». La prière, elle, peut obtenir la grâce, qui nous fera produire cet acte de charité.

  La vraie prière joue ainsi dans le monde un rôle infiniment plus grand que la plus étonnante des découvertes. Qui oserait comparer l’influence exercée par un savant incontesté comme Pasteur, à celle qu’exerça par sa prière un saint Paul, un saint Jean, un saint Benoît, un saint Dominique ou un saint François ?

  Chaque âme immortelle vaut plus que tout le monde physique, elle est comme un univers, unum versus alia, puisque par ses deux facultés supérieures, intelligence et volonté, elle s’ouvre sur toutes choses et sur l’Infini. A ces univers en marche vers Dieu, qui sont les âmes, la prière assure deux choses : la lumière surnaturelle qui les dirige, et l’énergie divine qui les pousse. Sans la prière, l’obscurité se fait dans les âmes, qui se refroidissent et meurent, comme des astres éteints. Ayons confiance en cette force d’origine divine ; rappelons-nous d’où elle vient, rappelons-nous où elle va ; c’est de l’Eternité qu’elle descend, d’un décret de l’infini bonté, c’est à l’Eternité qu’elle remonte. »

Rome, Angelico

Fr. Reg. Garrigou-Lagrange, O.P

 

Trouver la joie

Occuper son esprit de ce qui porte la joie dans le cœur, ce n’est pas sans doute ce qui flatte la sensualité, la vanité ou l’ambition ; les réflexions sur ces objets ne pourraient qu’exciter des désirs et des désirs toujours inquiétants, tout au plus fournir des ressources à l’intrigue, et l’intrigue ne produit rien moins que la joie ; mais plutôt les craintes, les défiances et les troubles. Tout ce qui flatte les passions vous dégrade ; votre âme, naturellement droite et née avec les sentiments de sa dignité, ne peut jamais trouver sa véritable joie dans ce qui fait sa honte. (…)

Non, une âme tiède et lâche ne possèdera jamais cette joie qui est une manne cachée, réservée à ceux qui ont dompté les passions et surmonté la mollesse. (…)

Comment sans cet amour de Dieu, pourrait-on goûter quelque joie ? Joie superficielle, joie momentanée, joie perfide, qui, en nous mettant dans une espèce d’ivresse, nous fait courir en riant vers l’abîme où nous allons nous précipiter. Le cœur de ceux qui cherchent véritablement le Seigneur, sera toujours dans la joie ; et un cœur parfait possèdera toujours devant lui la joie parfaite.

 

Père de Lombez – Traité de la joie

 

Actualités culturelles

Chers lecteurs,

Face à l’impossibilité de visiter les expositions généralement proposées dans cette rubrique, nous vous proposons un autre regard sur les actualités culturelles. Nous nous pencherons aujourd’hui sur les actualités dans le monde de l’art et de l’archéologie, sujets non moins passionnants !

 ¨ France (Nîmes)

C’est à quelques mètres de la célèbre Maison Carrée de Nîmes que viennent d’être exhumés les vestiges de deux « domus » datant du Ier siècle. L’emplacement devant subir des travaux en vue de la construction d’immeubles, l’INRAP a décidé de mener au préalable une campagne de fouilles, et bien lui en a pris ! Les vestiges témoignent d’un grand luxe architectural si l’on considère la présence de bassins intérieurs, chauffage au sol et carrelage en damier de marbre .

 ¨ France (Paris)

Le 25 mars dernier a été vendu chez Sotheby’s l’un des rares tableaux de la période parisienne de Van Gogh : Scène de rue à Montmartre, peint en 1887. Acquise par une famille de collectionneurs en 1920, cette œuvre n’avait jamais été présentée au public jusqu’à la vente de 2021. Après une lutte acharnée de 10 minutes entre plusieurs concurrents étrangers, la partie semblait gagnée par un londonien face à un collectionneur de Hongkong pour 13 millions d’euros (les enchères avaient démarré à 4 millions). Mais une soudaine enchère Internet fit alors monter le prix à 14 millions d’euros (16 millions avec les frais). Néanmoins, l’affaire ne s’arrête pas là puisqu’un nouveau rebondissement surgit : 20 minutes après l’adjudication, il s’avéra effectivement que l’acheteur en ligne était défaillant…il fallut donc remettre le tableau aux enchères ! Après un nouveau combat entre les mêmes acteurs, le londonien Samuel Valette remporta les enchères pour 11 250 000€ (un peu plus de 13 millions avec les frais).

¨ France (Villers-Cotterêts)

Le président de la république ayant décidé de transformer le château de Villers-Cotterêts en Cité internationale de la langue française pour 2022, des fouilles ont été menées avant de procéder aux aménagements. C’est ainsi que les archéologues ont découvert les vestiges d’un château médiéval bien antérieur au palais actuel. Très peu d’informations existent dans les archives à propos de cette forteresse médiévale rasée par François Ier vers 1528 : les fouilles menées actuellement présentent donc une occasion unique d’en reconstituer le plan. (ci-dessus : photo de la base d’une tour carrée du château médiéval)

¨ Israël

D’importantes découvertes archéologiques ont été dévoilées le 16 mars dernier par les autorités israéliennes. En effet, des fouilles archéologiques effectuées en plein désert de Judée ont révélé la présence d’un véritable trésor dans la « grotte des Horreurs » située à 80 mètres sous le sommet d’une falaise. Outre les restes d’un enfant ainsi que des pièces de monnaie du Ier siècle, les archéologues ont découvert le plus ancien panier du monde (vieux de 10 500 ans), et, surtout, des fragments de parchemins bibliques de plus de 2 000 ans. Aucun parchemin biblique n’avait été découvert depuis la mise à jour des Manuscrits de la Mer Morte. Les actuels manuscrits, rédigés en grec, présentent des passages des livres de Zacharie et de Nahum.