Le porte-serviette

Chères couturières,

Pour bien préparer la rentrée, l’atelier vous propose cette fois-ci la confection d’un porte-serviette que l’on pourra broder pour le personnaliser. Que ce soit pour vous-même, vos enfants pour la maison ou la pension, vos petits-enfants, il est très pratique pour chacun d’avoir sa serviette attitrée !

Niveau débutant.

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Atelier couture

 

       Fromage blanc

           

Ingrédients :

– Pot de fromage blanc 

– Sucre blanc en poudre 

– Amarena (cerises confites)

– Feuilles de menthe

– Gavottes

 

Préparation :

Vous n’avez pas le temps de cuisiner et pourtant, il faut préparer un dessert pour des amis qui arrivent…

Alors, en un temps, deux mouvements, voici une préparation rapide qui fera son effet.

 

– Prendre du fromage blanc onctueux, bien le battre et ajouter un peu de sucre.

– Le placer dans de jolies coupelles.

– Au centre, y déposer délicatement 3 ou 4 amarena (cerises confites).

– Décorer avec des feuilles de menthe et pourquoi pas une gavotte au chocolat.

 

Et le tour est joué, les amis seront émerveillés ! Bonne dégustation !

 

Flan de courgettes

Ingrédients pour 6 personnes :

– 1 kg de courgettes râpées

– 1 échalote ciselée

– 3 gousses d’ail pressées

– 4 œufs 

– 1/2 verre de lait

– 1/2 verre d’eau

– 8 cuillères à soupe de farine

– 60 g de parmesan râpé

– Quelques feuilles de basilic ciselé

– Ciboulette coupée en petits morceaux

– Sel / poivre / huile d’olive

Préparation :

– Battre les œufs en omelette et y incorporer la farine, le lait et l’eau.

– Mélanger aux courgettes râpées

– Ajouter le parmesan, l’échalote, l’ail, le basilic et la ciboulette.

– Saler et poivrer.

– Verser ce mélange sur une plaque de cuisson huilée ou sur une plaque en silicone

– Faire cuire au four à 200°C pendant 25 minutes

 

Ce flan peut se manger chaud ou froid lors d’un pique-nique. Bon appétit !

 

 

Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni  

           « Bien vivre n’est rien d’autre qu’aimer Dieu de tout son cœur, de toute son âme, de tout son esprit », et comment aimer Dieu si nous ne le connaissons pas ? Aimer Dieu ! Vaste programme ! Et l’aimerons-nous jamais assez ?

La maman pourra ainsi lire ou simplement s’inspirer de ces pensées pour entretenir un dialogue avec ses enfants ; elle l’adaptera à l’âge de chacun mais y trouvera l’inspiration nécessaire pour rendre la présence de Dieu réelle dans le quotidien matériel et froid qui nous entoure. Elle apprendra ainsi à ses enfants, petit à petit, à méditer ; point n’est besoin pour cela de développer tous les points de ce texte si un seul nourrit l’âme de l’enfant lors de ce moment privilégié.

Ainsi, quand les difficultés surgiront, que les épreuves inévitables surviendront, chacun aura acquis l’habitude de retrouver au fond de son cœur Celui qui ne déçoit jamais !

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Jésus ! Il n’est pas d’autre nom sur terre par lequel nous puissions être sauvés ! Qu’il est béni, notre Sauveur, lui dont le nom lui-même sauve tant d’âmes de l’enfer ! Sait-on qu’à chaque fois que l’on prononce avec respect ce nom de Jésus, nous pouvons sauver une âme ? Comme il est béni, celui dont le nom seul fait trembler l’enfer et attire tant de grâces sur la terre !

 

Jésus le fruit de vos entrailles : pourquoi l’Eglise me fait-elle dire « le fruit de vos entrailles », et non « votre fils », ou encore « votre enfant » ? Parce que, selon des hérésies, Jésus ne serait pas le fils de Marie selon la chair. En disant « de ses entrailles », on exclut de nombreuses perversions hérétiques sur l’Incarnation. Prêtant foi au mensonge du serpent infernal qui leur promet de devenir comme des dieux en mangeant du fruit défendu, nos premiers parents, Adam et Eve, nous ont coupés de Dieu. Et vous, ô ma Mère, par l’Incarnation, vous avez produit le fruit de Vie, réparant ainsi la faute de notre première mère. Oui, vraiment le fruit de vos entrailles est béni, car il vient nous réconcilier avec le Ciel, par sa venue en ce monde, il nous donne la paix et nous montre le chemin du Ciel. « Ô bienheureuse faute qui nous a valu un tel Sauveur », chante-t-on à la veillée pascale !

 

Le fruit de vos entrailles : le fruit, c’est aussi un mot que l’on utilise pour désigner la conséquence, le résultat de quelque chose : le fruit du péché, c’est la mort. Eve a mangé du fruit défendu, et elle est morte. Mais le fruit des entrailles de Marie, c’est-à dire la conséquence de l’amour inconditionnel du Bon Dieu pour nous, et dont la Sainte Vierge se fait le réceptacle, c’est la Vie, c’est Notre-Seigneur Jésus-Christ incarné pour nous ouvrir les portes du Ciel. Les entrailles, c’est ce que nous avons au plus profond de nous, c’est notre cœur et notre estomac, c’est ce qui serre quand nous avons du chagrin ou qui se dilate quand nous sommes remplis de bonheur. C’est dans le cœur amoureux de Marie que le Verbe s’est fait chair, que l’amour infini de Dieu pour les hommes s’est manifesté. Jésus, se faisant homme, a voulu partager nos joies et nos souffrances. Bien plus, il s’est fait lui-même le pain de vie, pour venir habiter physiquement, réellement dans nos âmes, dans mon âme.

 

Jésus, Jésus, Jésus, je veux que votre nom soit sans cesse sur mes lèvres, que vous habitiez chaque jour dans mon cœur par la Sainte Eucharistie, afin que la bénédiction qui vous accompagne rejaillisse sur moi et sur ceux qui m’entourent. Je veux à mon tour porter des fruits, par la réponse de mon amour à votre amour, et avancer ainsi sur le chemin du Ciel. Ma tendre mère du Ciel est là pour me guider, elle qui vous a porté neuf mois en son sein avec recueillement et humilité. Que mes communions soient autant d’occasions de me rapprocher de vous, ô Marie, et puisque mon cœur est vôtre, recevez-y Jésus pour moi, afin qu’il s’y sente bien et qu’il ne s’y laisse jamais déloger. Ainsi, la bénédiction du Ciel m’accompagnera toujours, et j’espère fermement atteindre ainsi le bonheur du Ciel, et chanter vos louanges pour l’éternité, avec tous les saints et les anges, particulièrement mon fidèle gardien qui veille sans cesse à ses côtés, m’encourageant sans cesse sur le chemin de la vertu.

 

« Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur, Hosanna au Fils de David » !

 

Germaine Thionville

 

Cinéma – Père –

« Dire que la société serait chrétienne si les individus qui la composent étaient de vrais chrétiens, est une vérité de La Palisse. Il resterait à prouver, et ce serait difficile, qu’on peut avoir de vrais chrétiens, en grand nombre, dans un pays où les 4/5e des enfants reçoivent une éducation sans Dieu, où les 9/10e de la presse sont mauvais, où la famille est dissociée par la loi du divorce, où l’immoralité règne en maîtresse dans les usines et les ateliers, et se propage partout par cette apothéose de la chair qu’est le cinéma ?»

Joseph Vassal, en 1931

 

Père éducateur, père démagogue

 François, Monsieur, n’est pas coupable du désastre qui le hante. Il a été mal-aimé. Au lieu d’être à l’amarre à laquelle il aurait pu s’accrocher, sur nos mers en délire, vous avez préféré danser la gigue avec lui, sur le radeau.

Vous n’avez pas compris cette simple évidence : que l’amour ne consiste pas pour un père, à plaire à son fils mais à en faire un homme. Face à votre enfant, vous vous êtes conduit comme un démagogue soucieux de son indice hebdomadaire de popularité et non de l’avenir plus lointain de son peuple. Au lieu d’élever (quel beau mot : élever ! Rendre plus haut !) votre fils et de vous proposer en exemple, vous vous êtes conduit comme un histrion en quête d’applaudissements d’une foule qu’il veut toujours distraire.

L’arbre doit être taillé pour pousser droit et porter des fruits. Une comptabilité doit être bien tenue et en ordre pour que l’affaire prospère. Un champion doit être corrigé par son entraîneur pour atteindre à l’efficace perfection du geste. Les mots, dans les discours, doivent être choisis, maîtrisés et ordonnés pour se couler dans un style. Et je pourrai aligner ainsi cent et mille exemples. Mais un enfant n’est pas un arbre ou une affaire, me direz-vous !

Et si ! Voyez le vôtre par exemple : il ne porte aucun fruit et son âme est en faillite.

Jean Cau, in Le quotidien du médecin, février 1975