Les crêpes du 2 février!

PLUS RAPIDE, PLUS EFFICACE …

 Les 1001 astuces qui facilitent la vie quotidienne !

Une rubrique qui tente de vous aider dans vos aléas domestiques.

Pour garder mes crêpes au chaud …

 2 Février : Fête de la Présentation de Jésus au Temple,

Chandeleur, et tradition culinaire qui va de pair : la confection des crêpes, plutôt même du TAS de crêpes …

Qui va les déguster et comment ??? Chaudes bien sûr, mais comment les garder chaudes justement ?

 « Chandeleur sans chaleur, crêpes sans odeurs »  ! Comment éviter que mes crêpes confectionnées avec amour pour la plus grande joie des petits et grands ne soient froides comme l’hiver au moment du dessert …

Vous pouvez les laisser attendre au four, à petite chaleur bien sûr, le risque est qu’elles se dessèchent ! Une lectrice nous adressa aimablement ce truc en début d’année 2019, truc que j’ai précieusement gardé pour ce temps des gourmets : faites d’une casserole une bouillotte ! Avant la préparation des crêpes, faites bouillir une casserole d’eau, éteignez le feu, et posez une assiette sur la casserole. Commencez vos crêpes tranquillement en les déposant au fur et à mesure sur l’assiette. Lorsque votre pâte est épuisée, recouvrez simplement le sommet de la pile de crêpes d’une assiette. Vos crêpes resteront ainsi chaudes et croustillantes, à point pour régaler votre maisonnée.

Je le redis : que les championnes de l’organisation n’hésitent pas à partager leurs trésors d’organisation en écrivant au journal. Partageons nos talents …

 

La souffrance

          Chers grands-parents,

 « Si nous ne sommes pas des saints, ce n’est pas que les croix nous manquent, mais l’amour qui leur donne la beauté, le mérite et la fécondité ».  Le Christ nous enseigne lui-même que c’est en portant notre Croix que nous nous sauverons. Mais comme cette vérité est difficile à admettre ! Certes nous savons, comme nous l’enseigne l’Imitation, qu’il « faut nous résoudre à souffrir si nous voulons aimer le Christ et le servir toujours » et « qu’une vie sans croix est une vie sans amour 2» ! Mais comment accompagner ceux qui souffrent !

Et pourtant, toutes nos familles sont et seront marquées par l’épreuve. Qu’elle touche à la santé, à l’orientation des enfants, aux difficultés psychologiques ou matérielles (maladies physiques ou psychiques, absence d’enfant, chômage, échecs de toutes natures, difficultés d’éducation…). Quoi que nous fassions, la souffrance nous accompagnera toujours. Il y a certes des périodes heureuses mais fatalement, il faut savoir en accepter de plus difficiles. A nos âges de grands-parents, nous avons souvent eu à supporter des épreuves et en avons quelque expérience mais, comment accompagner la souffrance de nos enfants et petits-enfants.

Il nous a semblé que cet accompagnement pouvait, dans l’ordre chronologique, suivre trois voies : compatir – soulager – expliquer.

Compatir :

« Quand on dit que l’on est atteint d’un cancer, chacun à quelque chose à vous dire. Il y a les injonctions à se battre, … avoir un mental d’acier, … les copains qui vous disent combien vous êtes un modèle de force… Bien peu prennent le temps de vous dire simplement  »  je suis désolé de ce qui t’arrive … » ». Voilà ce que conseille sagement un « coach » lambda sur internet. « Pleurez avec ceux qui pleurent » nous ordonne saint Paul. Il ne s’agit pas de sensiblerie mais de partage de la souffrance. Rien n’est plus dur pour un éprouvé que de voir sa peine incomprise, de constater que les autres l’ignorent ou pire, n’y voient que douilletterie ou faiblesse. Quelle que soit la souffrance, accompagnons nos enfants, montrons que nous comprenons leur douleur, que nous souffrons et prions avec eux ! Compatir c’est à dire « souffrir avec ». Le Christ le premier a voulu partager notre condition d’homme avec nos inquiétudes et nos souffrances.

Soulager :

Bien sûr ! Tout ce qui peut être fait raisonnablement pour soulager la peine ou la douleur doit être fait. Que ce soit par une aide matérielle, des médicaments ou tous autres moyens, nous devrons être présents pour aider à supporter une douleur devenant difficilement supportable.

Expliquer :

C’est la partie la plus délicate de notre mission. La Croix fait partie du plan Divin mais il est bien souvent héroïque de l’accepter sans réticences. Face à la souffrance, chacun a son cheminement propre. C’est avec une grande délicatesse qu’il faudra, si nécessaire, enjoindre le souffrant à la résignation et à l’union au Christ. A expliquer que toute souffrance – même la plus petite – est faite pour être unie au sacrifice de la Croix. Cette résignation est tellement contraire à l’esprit du monde qu’elle aura souvent du mal à être acceptée !

Il vaut certainement bien mieux parler de la vertu rédemptrice de la souffrance avant que celle-ci n’arrive. Sans préparation, il sera bien plus difficile de faire accepter l’épreuve au moment où celle-ci se produira. Le sacrifice de la Croix et les vies de saints nous montrent de nombreux exemples prouvant la nécessité de la Croix pour notre salut et même parfois pour note bonheur terrestre.

Prions saint Joachim et sainte Anne, attristés de ne pas attendre d’enfant, patrons des grands-parents de nous éclairer dans notre rôle délicat et plein de renoncements qui peut avoir une telle importance pour nos petits. Bon courage à tous !

Des grands-parents

 

1 Père Mateo (1875 – 1960), prêtre péruvien miraculé, promoteur de l’intronisation du Sacré Cœur dans les familles, auteur « Jésus Roi d’Amour ».

2 Sainte Catherine de Sienne.

 

 

Le chant liturgique

Un soir à la maison, Grégoire, qui a juste 12 ans et qui chante au chœur d’adolescents du Conservatoire de la ville toute proche, lance la discussion au sujet de la musique et plus spécifiquement du contenu des programmes de chants des chorales.

– J’aime bien les chansons que l’on chante au Conservatoire. Les mélodies sont agréables et puis les rythmes sont très entraînants alors que les cantiques que l’on chante lors de la messe du dimanche semblent plus monotones et plus lourds. Pourquoi ne chante-t-on pas des chants qui bougent un peu ? Les cantiques sont tristes parfois.

Son frère Augustin, de 18 ans, qui a suivi une première retraite de Saint Ignace lui rétorque que tout cela est normal. A la chorale du conservatoire, le chef de chœur recherche souvent en premier lieu à intéresser ses élèves. Il choisit donc des chants agréables et dynamiques qui peuvent plaire à un maximum d’élèves et aussi au public des concerts. Tous recherchent un plaisir immédiat. A la messe, nous sommes là pour louer, honorer et servir Dieu, attitude que nous devrions avoir dans toutes les activités de notre vie d’ailleurs. Donc le but n’est pas le même ici qu’au Conservatoire.

Papa, qui a suivi l’échange intervient alors pour préciser quelques points. L’assistance à la messe est le plus important des actes de religion. C’est le renouvellement du Sacrifice de la Croix et les fidèles y participent par leurs prières et par leurs chants à la louange divine. Il ne s’agit plus de savoir si le chant nous plaît ou non, mais si ce chant est digne de Dieu, le loue et l’honore. Ainsi nous nous unissons aux anges et aux saints qui chantent éternellement la gloire de Dieu dans le Ciel. Pendant le Sanctus, pensons particulièrement à la cour céleste qui nous accompagne.

– Mais ce n’est pas un peu compliqué de choisir des chants adaptés ? reprend Grégoire.

– C’est pourquoi, répond Augustin, les chefs de chœurs passent du temps pour élaborer le programme des cantiques convenant aux différentes circonstances.

– En effet, précise Papa, qui dirige la chorale paroissiale de la chapelle desservie par de bons prêtres traditionnels où il emmène chaque semaine sa nombreuse famille, les cantiques sont choisis en fonction de la fête et surtout au regard des pièces grégoriennes qui ne sont pas facultatives et qui donnent la couleur propre de chaque messe. Les introïts du jour de Noël (Puer natus) et du jour de Pâques (Resurexit) n’ont pas la même couleur ni le même entrain. Autant le premier est joyeux et enlevé autant le deuxième est posé et recueilli. On ne pourrait pas chanter n’importe quel cantique avant l’un ou l’autre de ces introïts comme il ne nous viendrait pas à l’idée de mettre de la moutarde dans un dessert. Dans les deux cas il est nécessaire de faire preuve de bon sens. Si on fait des mauvais choix, on ne met pas l’objectif au bon niveau.

Quelle est la fin que nous recherchons ? Quel est le meilleur moyen à prendre pour l’atteindre ? Telles sont les questions que l’on doit se poser en permanence, sinon c’est comme si l’on marchait dans une grande forêt sans carte ni boussole.

Tout à coup Madeleine, 13 ans, prend part au débat pour ajouter qu’à son avis on ne chante bien que si on éprouve du plaisir, et que certains cantiques que l’on chante à la chapelle sont vraiment trop tristes.

– La musique passe d’abord par les sens, ajoute Papa, et c’est pourquoi nous avons plus ou moins de plaisir à l’écouter et à la mémoriser suivant notre sensibilité. Mais il n’en reste pas moins vrai qu’elle doit atteindre l’âme et nous faire remonter à Dieu auteur de tout bien. Sinon c’est du vol ou du caprice si nous gardons égoïstement ses bienfaits. J’insiste sur ce que nous avons dit tout à l’heure. Notre chant, à la messe tout particulièrement, est une louange pour Dieu. Il ne faut donc pas en rester à une première impression de tristesse ou de joie. Il faut analyser le contenu des chants et la fin recherchée. Certaines pièces seront plus méditatives et d’autres moins, selon ce que le compositeur a voulu exprimer, et le choix sera effectué en fonction de ces critères, selon la période liturgique et pour aider les fidèles à mieux prier.

Tout fier, Augustin reprend,

– Mon saint patron a dit : « Chanter, c’est prier deux fois. »

– Effectivement, le chant nous aide à porter notre prière vers Dieu, précise Papa. Il n’est pas besoin d’être un grand chanteur pour louer Dieu avec sa voix.

– L’autre jour j’ai entendu une messe avec des solistes, continue Grégoire, et cela avait de l’allure, rien à voir avec les chants à la paroisse !

– Attention, Grégoire, ajoute Papa, ces chanteurs ont-ils la foi, chantent-ils pour rendre gloire à Dieu, ou sont-ils venus comme à un concert pour une prestation qui leur sera rémunérée ? En toute chose il faut considérer l’esprit, l’intention qui motive cette action. Le Bon Dieu sera plus honoré par un chant simple d’une paroisse qui y met tout son cœur avec une pureté d’intention que par des pièces interprétées par des professionnels qui ne pensent pas à Lui.

Maman intervient pour étayer les propos de Papa en donnant l’exemple du « Je vous salue Marie » de l’Isle-Bouchard. A l’occasion de ses apparitions dans l’église du village, la Très Sainte Vierge a demandé à plusieurs reprises à Jacqueline Aubry, l’ainée des voyantes, de chanter avec la foule le « Je vous salue Marie qu’elle aimait bien ». C’est sans doute plus la foi avec laquelle tous chantaient que la qualité vocale de l’exécution que la Très Sainte Vierge attendait.

Le chant liturgique fait partie intégrante du culte rendu à Dieu conclut Papa. En effet, l’homme est fait pour vivre en société et doit rendre un culte public à Dieu. D’où il en découle l’obligation d’assister à la messe tous les dimanches et fêtes, et d’y chanter de tout son cœur les pièces les plus accessibles. C’est-à-dire non seulement les cantiques mais aussi les différentes parties des Kyriale et Credo. Le Père Emmanuel du Mesnil Saint loup avait réussi à entraîner ses paroissiens à chanter mêmes les pièces grégoriennes après les avoir répétées dans la semaine sous sa direction. Nous sommes bien loin des cantiques faciles entendus parfois dans les messes de mariage des cousins qui ne vont pas à la messe traditionnelle. Mais nous pourrons continuer cette discussion un autre jour avec des exemples et des arguments pour donner les éléments pour choisir les meilleurs chants.

            François

 

Pourquoi tant souffrir

Tout au long de notre vie sur la terre, la souffrance se montre une compagne bien fidèle qui revêt des aspects ô combien variables ! Tantôt morale, elle nous ronge et nous obsède…lorsqu’elle devient physique, la voilà accablante, lancinante ! Pourquoi toujours souffrir ? Pourquoi tant souffrir ?!…

Généralement contraire à notre volonté, la souffrance nous répulse et parfois même nous révolte. Notre nature humaine la rejette, et pourtant, lorsque nous nous tournons vers Notre-Seigneur, nous voyons combien l’exemple de sa vie nous encourage à accepter la souffrance et les épreuves quotidiennement ! C’est que, depuis le péché originel, tout homme doit payer le tribut de sa dette envers Dieu « à la sueur de son front », souffrant peines, afflictions, maladies et mort… cependant nous oublions trop souvent que toutes ces épreuves sont aussi, par la douce miséricorde de Dieu, des échelons pour monter au ciel !

La vie en société, surtout si celle-ci rejette Dieu et nous contraint d’avancer à contre-courant pour garder, quoi qu’il nous en coûte, les valeurs de l’Eglise Catholique enseignées par Notre-Seigneur Lui-même, est source de grandes douleurs morales, on peut même parler d’une forme de persécution morale. Mais Dieu, par ses grâces, soutient les âmes fidèles et fortifie ceux qui luttent pour son règne. De qui aurions-nous crainte en dépit d’une douleur de l’âme que tous ces combats blessent ?!

Notre vie de famille elle-même, est faite de croix à porter : mariage malheureux, absence d’enfants, handicap, maladies, chômage, accidents, vieillesse, deuils…ou encore : critiques, déceptions, conflits, jalousies, injustices… que d’imprévus parfois, d’épreuves qui divisent les familles !

Et notre vie d’époux n’est, elle aussi, guère épargnée par toutes sortes de souffrances : éducation des enfants, désaccords, incompréhensions, égoïsmes, irresponsabilités, célibat géographique, privations, pauvreté, éloignement moral ou physique, défauts, intolérances, enfants qui s’égarent, beaux-parents envahissants ou exigeants…

Toutes ces souffrances sont des croix qui peuvent être infiniment lourdes à porter, et pourtant Dieu les a voulues pour nous, Il aime éprouver notre amour pour Lui, qui a souffert jusqu’à la mort pour le salut de chacun d’entre nous ! Savons-nous que chacune de nos croix est à la mesure de nos capacités à les supporter ? Savons-nous que Dieu éprouve ceux qu’Il aime, mais jamais au-delà du possible ? Sommes-nous capables, lorsqu’à notre tour notre « âme est triste à en mourir », de tenir compagnie à Jésus dans son Agonie : « non ma volonté, Seigneur, mais la vôtre » ?! 

Certaines souffrances sont des plaies à l’âme ! Je pense notamment aux époux qui ne voient pas venir d’enfants dans leur foyer. Cette douleur morale peut devenir physique, et l’on voit souvent de jeunes foyers se replier sur leur épreuve, fuir les autres comme s’ils avaient honte, parfois même ne plus supporter de voir « les enfants des autres » ! Si Dieu a permis cela pour eux, Il n’a pas voulu la tristesse au point de dépérir, Lui qui ne veut que notre bien. Il a peut-être vu des âmes fortes, capables de supporter plus que d’autres par amour pour Lui, et Il leur demande cette preuve de leur fidélité « pour le meilleur et pour le pire ». Que répondre à cela ? « Non Seigneur, je refuse ! C’est beaucoup trop pour moi, je le sais mieux que Vous » ?  

Parfois le bon Dieu attend tout simplement, de notre part, une démarche, un abandon généreux, une soumission dans une belle humilité qui Lui montre notre confiance en Lui, et surtout que nous sommes prêts à tout pour l’amour de Lui !  « Non ma volonté, Seigneur, mais la vôtre ! »

C’est alors que le cœur s’ouvre, et offre sa blessure, sa faiblesse, sa croix et même sa personne toute entière ! Et Dieu récompense car il tient enfin sa preuve d’amour. Le secours doit venir d’en haut, et il faut parfois descendre très bas pour l’obtenir !

Il arrive aussi que la Providence, par le moyen d’une épreuve, essaie de nous faire comprendre un message : une décision à prendre, un changement de vie…et moins nous comprenons, plus l’épreuve s’alourdit…jusqu’à l’heureux jour où, grâce à nos prières et demandes suppliantes, les « écailles nous tombent des yeux » ! Ne perdons jamais espoir, livrons-nous sans retenue à la volonté divine qui, au moment opportun, éclairera nos âmes aveuglées.

Entre époux, la plupart du temps, l’épreuve doit se porter à deux, avec douceur et patience. Lorsque l’un fléchit, se décourage, aussitôt l’autre montre sa force morale et la transmet. Quelle grâce, n’est ce pas, de pouvoir tout porter à deux, les joies comme les difficultés ! Alors, ne pesons pas l’un sur l’autre, essayons de faire front pour pousser l’autre à la générosité, à l’abandon entre les mains de la Providence. Soyons comme Marie, debout au pied de la Croix, forts et confiants !

Parfois, au cœur de la tourmente, nous voilà incapables d’offrir. Nos sentiments ont pris le pas sur notre raison et tout juste si nous tournons nos regards vers le crucifix ! Seigneur que nous sommes faibles et petits alors que nos pensées devraient voler vers Vous lorsque la vague nous submerge ! Petit grain de blé du bon Dieu, laissons-nous alors moudre à Son grand moulin d’amour, avec humilité. Que notre souffrance ne soit pas vaine, qu’elle soit au moins un don de nous-mêmes. « Le Seigneur vient s’unir à l’âme qui se renonce et ne craint pas de « perdre de son droit en beaucoup de circonstances » ». C’est lorsque la croix est enfin acceptée, aimée, qu’elle devient suave et fructueuse.

Chers époux, qui portez et aurez encore de nouvelles croix à porter, ne refusez rien à Dieu, ne refusez rien de Lui, et prenez courage sans vous inquiéter du lendemain. Priez ensemble aujourd’hui afin d’offrir déjà les peines à venir et amassez les grâces nécessaires pour y faire face le moment venu. Dieu n’abandonne jamais personne ! Préparez vos enfants à l’épreuve par des petits sacrifices offerts chaque jour. Se tourner vers la croix et l’embrasser doit être leur prière en toute circonstance. Enfin, félicitez-vous d’aider Jésus à porter sa croix, porte royale pour entrer au temple de la sainteté !

Sophie de Lédinghen

 

Activités culturelles

  Ecouen (95)

« Graver la Renaissance. Etienne Delaune et les arts décoratifs » : Jusqu’au 3 février 2020, rendez-vous au château d’Ecouen pour découvrir Etienne Delaune, orfèvre et graveur trop peu connu du XVIe siècle. Une exposition idéale pour les amateurs d’estampes et d’objets d’art.

 Paris (75 006)

« L’âge d’or de la peinture anglaise de Reynolds à Turner » : Du 11 septembre 2019 au 16 février 2020, cette magnifique exposition du Palais du Luxembourg met à la portée de tous les plus belles œuvres des peintres anglais des XVIIIe et XIXe siècles. Une occasion unique de découvrir la singularité et la diversité de la peinture anglaise dans ces années.

¨ Versailles (78)

« Versailles revival 1867-1937 » : Du 19 novembre 2019 au 15 mars 2020, au château de Versailles, découvrez les soixante-dix années durant lesquelles la demeure royale connaît un véritable renouveau. Délaissé au cours de la révolution, le palais connaît effectivement un regain d’intérêt dès le XIXe siècle, aussi bien de la part des conservateurs que des artistes les plus éminents ou encore de la société mondaine de l’époque.

 Bordeaux (33)

« Da Vinci, les inventions d’un génie » : A l’occasion des 500 ans de la disparition de Léonard de Vinci, le Musée Mer Marine de Bordeaux présente, jusqu’au 8 mars 2020, une étonnante rétrospective sur les inventions de l’artiste. Plus de 120 maquettes réalisées à partir des écrits et dessins de Léonard témoignent de l’intelligence unique de ce génie aux mille facettes.

¨ Aix-en-Provence (13)

« Hokusai, Hiroshige, Utamaro…Les grands maîtres du Japon » : L’hôtel de Caumont révèle, du 8 novembre 2019 au 22 mars 2020, une exceptionnelle collection d’estampes et réalisations artisanales de l’époque Edo (1600-1867). Une grande première, qui donne au public l’occasion de découvrir la grandeur de la culture japonaise à travers ses plus belles pièces.

¨ Paris (75 008)

« Greco » : Du 16 octobre 2019 au 10 février 2020, le Grand Palais vous propose de redécouvrir Le Greco, peintre de l’école espagnole du XVIe siècle. Il s’agit de la toute première exposition consacrée à cet artiste dont les œuvres spectaculaires sont à la fois une synthèse des grands maîtres et une annonce de la modernité.