Dictons – Citations

Les Saints de Glace : Saint Mamert, Saint Pancrace, Saint Servais

11 mai : Attention, le premier des saints de glace, souvent tu en gardes la trace.

12 mai : Les trois saints, Pancrace, Mamert et Servais, sont bien nommés les saints de glace, Mamert, Servais et Pancrace.

13 mai : Avant Saint-Servais, point d’été, après Saint-Servais, plus de gelée.

Hirondelle aux champs amène joie et printemps.

                                                                                                           Dans une fleur, il y a presque toutes les fleurs. Dans la moindre promenade à la campagne, c’est la nature toute entière qu’on rencontre et tous les sentiers dans l’herbe sont les chemins du Paradis. Rodin

La présence du Père

Les enfants discutent un lundi dans la cour de récréation :

  • Mon papa est génial, on a fait plein de choses avec lui ce week-end. Il a aidé maman et il nous a raconté des histoires !
  • Le mien, il était en week-end avec des copains, il dit qu’il a besoin de se détendre…
  • Papa, à la maison, il fait de l’ordinateur… souvent maman crie pour qu’il vienne dîner et on commence sans lui. Il dit qu’il a beaucoup de travail, mais j’ai vu, il fait aussi des jeux…
  • Le mien, il est tout le temps à la maison, mais on ne fait jamais rien. Il dit qu’il est fatigué et qu’on doit se reposer le week-end.
  • Nous, quand il fait des courses, ou qu’il va à des manifestations, il emmène toujours un petit ou un grand. C’est bien d’être avec lui et de voir comment il fait.
  • Quand je demande à papa de venir jouer avec nous, il n’a jamais le temps, il dit toujours plus tard…et c’est jamais…tu crois qu’il m’aime ?

Le rôle affectif du père

La présence du père est essentielle dans la famille comme signe de son amour et elle est indispensable pour lui permettre de remplir son rôle.

Il est l’image à travers laquelle les enfants découvrent leur Père du ciel. Le Bon Dieu sera-t-Il perçu comme présent,  aimant, ou lointain ?

L’équilibre psychologique et affectif des enfants, des adultes, et leur comportement, sera affecté par la présence et l’amour du père.

L’unité de la famille et l’amour dans le ménage  ont besoin de la présence de chacun envers l’autre, manifestation naturelle de leur amour.

Un enfant doit se sentir aimé et soutenu pour prendre confiance en lui et s’épanouir.

L’équilibre entre vie professionnelle et familiale

L’équilibre entre vie professionnelle et vie familiale peut être difficile, mais il importe qu’une exception temporairement nécessaire ne se transforme pas en habitude…

  • Je dois regarder mes mails le week-end … sinon je suis trop stressé le lundi matin…
  • organisons plutôt un temps approprié le lundi et maîtrisons notre stress ! Nos interlocuteurs et patrons, comprendront vite qu’il ne sert à rien de nous écrire le week-end !
  • Une procession, conférence, manifestation, université d’été: pas pour moi… il faut que je reste avec ma famille.
  • Le père de famille doit jouer son rôle dans la société civile et religieuse. Alternons avec la maman si besoin, et emmenons nos petits ou nos grands. A 12 ou 15 ans, c’est formateur de participer à un chapelet public ou à une manifestation avec son père.
  • Mon épouse aimerait que j’emmène un enfant faire des courses ou bricoler, mais ils me ralentissent !…
  • Même si vous avancez moins vite, pensez plutôt qu’ils seront contents, qu’ils apprendront quelque chose et que vous aurez l’occasion d’un échange personnel.

« Si les nécessités de la vie vous séparent malgré vous de vos enfants au cours de la semaine, souvenez-vous que le dimanche est le jour de Dieu et de la famille réunie sous son regard. Qu’en ce jour au moins vos cœurs s’unissent pour l’édification de vos enfants. Vous trouverez dans cette union les plus douces joies dans le présent et les plus riches espérances pour l’avenir » (Mgr Rouard, in « La Famille Catholique »-M. l’abbé Troadec)

Une présence indispensable

Le papa passe beaucoup moins de temps avec ses enfants que la maman. Ceci est moins vrai évidemment quand la maman travaille…Mais d’une manière générale, la mère est plus souvent auprès des enfants.

Le père connaît des journées fatigantes et difficiles : toujours en action physique ou intellectuelle, il n’a qu’une heure de repos au moment du déjeuner. Quand il rentre le soir à la maison, son souhait de connaître le repos et le silence est bien compréhensible.

Or, quand les enfants sont jeunes, ce n’est pas toujours le cas : une fois la porte ouverte, quel papa n’a pas entendu des cris, des pleurs, des fous-rires, des cavalcades dans l’escalier ?

Quel papa n’a pas trébuché dans une poupée, une petite voiture, un sac de bille ?

Quel papa n’a pas entendu sa femme se plaindre des bêtises des enfants ? Et souhaiter un soutien d’autorité ?

Quelle tentation, alors, d’aller s’enfermer dans sa chambre…ou même, cela arrive, de décider de rentrer plus tard du bureau pour ne pas subir un tel vacarme ?

Et pourtant, c’est à ces instants de la vie familiale que le papa va pouvoir connaître chacun de ses enfants.

Même s’il s’octroie à juste titre quelques moments de repos au salon ou dans sa chambre, ou en parlant avec son épouse, sa présence physique à la maison est primordiale : on sait que papa est là !

Sa présence dans les petits détails de la vie quotidienne sera d’une grande influence pour l’harmonie familiale.

  • Temps d’écoute pour les plus grands pendant que maman s’occupe des plus petits.
  • Temps d’aide pour les plus petits pendant que maman s’occupe des plus grands.
  • Temps d’amusement pendant que maman prépare le dîner (après avoir fait ranger les chambres …).
  • Temps d’éducation pour aider à comprendre les leçons, pour initier au bricolage,…
  • Temps de lecture à haute voix pour les amateurs de belles histoires.
  • Temps de « prendre son temps » avec son épouse et les enfants.
  • Temps de prier en famille lors de la prière du soir que le papa présidera.

Hervé Lepère

« lettre à votre père », sujet de rédaction du 25 avril 1884, à l’école primaire:
Cher père,

Voilà bientôt trois semaines que tu es parti. Ce temps m’a semblé bien long, va. Je trouve toujours qu’il me manque quelque chose. Quand sept heures sonnent, je crois que tu vas revenir pour souper et je t’attends. Tout le monde va bien …mais je ne suis pas tranquille, je voudrais que tu sois là, que tu t’asseyes avec nous au coin du feu où l’on te laisse ta place.

Je voudrais que tu me donnes des conseils pour mes devoirs du soir, je voudrais que tu assistes à la lecture en commun, je voudrais enfin que tu me dises à huit heures, quand je pars :

« Au revoir, Charles, applique-toi bien surtout. »

Dépêche-toi, cher père, tâche de compléter au plus tôt notre famille.

Allons, adieu, je t’aime toujours.

Ton fils affectueux  (Charles PEGUY)

 

La drogue

Saviez-vous que le trafic de cannabis génère en France plus d’un milliard d’euros de chiffre d’affaires ? Qu’en 2014, 4,6 millions de personnes en France consommaient du cannabis et 1,4 million de manière régulière[1]. L’enquête européenne Espad (septembre 2016) indiquait que 17 % des lycéens français avaient fumé du cannabis au moins une fois dans le mois contre une moyenne européenne de 7 %.
La drogue se banalise. De plus en plus souvent nos enfants s’y trouvent confrontés ; les forces de l’ordre sont débordées, les proviseurs des lycées ne maîtrisent plus. Ne croyons pas qu’un milieu sera davantage protégé qu’un autre. Nous faisons face à un véritable fléau et c’est notre devoir d’en être informé. Plusieurs articles y seront consacrés. Celui-ci donnera des notions générales ; un colonel de gendarmerie reviendra sur ce sujet dans quelques temps pour donner des conseils pratiques.

 Qu’est-ce qu’une drogue ?
Une drogue est une substance[2] qui crée chez celui qui la consomme un état de dépendance physique ou psychique. Elle modifie la manière de percevoir les choses, de ressentir les émotions, de penser et de se comporter.
Cet état de dépendance -ou toxicomanie- est une aliénation, une privation de liberté, puisque le toxicomane est profondément dépendant de sa drogue.
Les produits en question sont des stupéfiants, des psychotropes, mais il peut s’agir aussi de médicaments dont on fait un usage excessif.
Leurs effets sont variés selon leur type :
« Dépresseurs du système nerveux «  : elles agissent sur le cerveau en ralentissant certaines fonctions ou sensations. Un ralentissement de la fonction respiratoire et l’endormissement sont souvent des effets secondaires de ces drogues.
« Stimulants »: elles accroissent les sensations et certaines fonctions organiques comme le rythme cardiaque ou encore la sensation d’éveil… Leur action « stimulante » est souvent suivie d’un contrecoup avec par exemple des sensations inverses de fatigue et d’irritabilité.
« Hallucinogènes » : elles modifient les perceptions visuelles, auditives et corporelles.
« Stimulants-hallucinogènes » : elles stimulent les sensations et certaines fonctions organiques tout en produisant des distorsions des perceptions, mais de manière moins marquée qu’avec un hallucinogène.
« Perturbateurs »

Les différentes drogues
On peut citer :
– l’héroïne
– la cocaïne
– l’ecstasy (dont le principe actif est le MDMA)
– le cannabis
Aujourd’hui, on y ajoute :
– les psychostimulants
– les benzodiazépines (prescrits comme médicaments)
– l’alcool
– et le tabac.
Attention !
Une campagne de désinformation est en cours pour légaliser l’usage du cannabis, et entraîne la vulgarisation de deux idées fausses:
-« l’alcool et le tabac sont aussi dangereux, voire même pires que les drogues » : soyons clairs : même s’ils sont dangereux à long terme, ils ne causent pas des morts immédiates par « overdose » comme le font les drogues[3]. « Le cannabis est 7 fois plus cancérigène que le tabac[4] »

– « il faut distinguer les drogues douces (comme le cannabis) des drogues dures (cocaïne, héroïne) ».  Ne nous y trompons pas : aucune drogue n’est douce, et le cannabis, même s’il cause moins de morts par overdose, a des effets destructeurs, nous allons le voir tout de suite.

Le cannabis

C’est la drogue la plus consommée en France ; c’est aussi très souvent la « porte d’entrée » vers les autres drogues, nous allons donc en parler plus précisément :

Les adolescents français sont les premiers consommateurs de cannabis en Europe : près de 2 sur 5 déclarent en avoir déjà fumé une fois au cours de la vie, et 1 sur 4 en fume régulièrement[5].

« Cannabis », c’est le nom latin du chanvre, dont on tire une drogue qui se présente sous trois formes :

            – la marijuana, qui est le plus souvent fumée sous forme de « joint », ou avec une pipe. Le cannabis est fumé mélangé à du tabac, et roulé dans du papier à cigarette pour obtenir une cigarette de forme conique. C’est le mode de consommation le plus usité en France (joint, bedo, pétard, spliff, stick, oinj’, techi,). Certains jeunes, recherchant plutôt un effet de « défonce » immédiat, utilisent une pipe à eau (bang ou bong) dans laquelle l’utilisateur insère la « douille ».

            – le haschish, shit ou chichon (même utilisation, souvent coupé avec d’autres substances comme la paraffine, la colle, le cirage… ou le pneu!) C’est la «résine» extraite de la plante commercialisée en barrettes d’environ 3 grammes ou en savonnette d’environ 250 grammes : teneur jusqu’à 27 % de THC.

            – l’huile de haschish, peu répandue en France.

Toutes les préparations de cannabis altèrent le fonctionnement du cerveau. Elles agissent durablement sur le comportement et restent stockées dans l’organisme au minimum 28 jours après une prise.

Parmi plus de 400 produits chimiques que contient le cannabis, se trouve le THC[6],  produit actif principal ; or il faut savoir que depuis les années 1970, la teneur du cannabis en THC s’est fortement accentuée (le taux de THC dans le cannabis était de 0,6 à 4 % dans les années 1970, est en moyenne de 10 à 12% en 2011, et peut atteindre parfois 30 à 35%). C’est comme si on proposait de la vodka à la place du cidre…

Le cannabis augmente le seuil de tolérance à l’alcool et le fumeur a besoin d’alcool fort pour ressentir les effets. C’est ainsi que les fumeurs atteignent souvent le coma éthylique.

Comment agit le cannabis ?

Quand il est inhalé, ses effets sont ressentis presque instantanément, car le THC atteint rapidement tous les organes du corps, y compris le cerveau.

Le THC s’attache à des endroits particuliers des cellules nerveuses, dans le corps et dans le cerveau[7], et interrompt leur fonctionnement normal.

Il s’agit -entre autres- des zones du cerveau qui dirigent le plaisir, la mémoire, la pensée, la concentration, le mouvement, la coordination, l’appétit, la douleur, la perception sensorielle, et la perception du temps.

A court terme, il produit une euphorie, une altération de la mémoire, un grand appétit, un rythme cardiaque élevé, une dilatation des vaisseaux sanguins dans les yeux, les rendant rouges et injectés de sang, ainsi que des réactions mentales négatives, une perception distordue, une coordination motrice déficiente.

Et avec le temps, sa consommation provoque :

1 – des difficultés scolaires, puisque la capacité à se concentrer et à retenir les informations est entravée, et la motivation anéantie ; chez les fumeurs de cannabis, la proportion d’élèves ayant de mauvais résultats scolaires, jusqu’à devoir arrêter leurs études, est très grande.

2 – des actes inconsidérés, car le jugement est altéré.

3 – un relâchement dans le soin de soi-même, des changements d’humeur qui peuvent être violents, d’où la détérioration des relations avec les membres de sa famille et ses amis.

4 – des accidents de voiture, car au volant, il altère l’évaluation des distances ; il affecte la vigilance, la concentration, la coordination et le temps  de réaction. Parfois combiné avec l’alcool, il est la cause de beaucoup d’accidents mortels de la route.

5 – l’usage régulier du cannabis est associé à des maladies psychologiques comme la psychose, mais aussi à la dépression, l’anxiété, les pensées suicidaires, et les troubles de la personnalité.

6 – il suscite rapidement une dépendance : les fumeurs de cannabis ont beaucoup de difficultés à s’arrêter quand ils le désirent.

Pourquoi se droguer ?

Si nous interrogeons les jeunes drogués, ils répondent qu’ils ont commencé par curiosité, ou par désir de faire « comme les autres », comme les amis qui leur proposent d’essayer « juste une fois ».

Ce sont les causes les plus courantes ; de plus, pour ceux qui ont des difficultés, c’est un moyen de ne pas penser à leurs problèmes (pendant 3h…), de se sentir mieux, différents, de « planer ».

Après avoir essayé, ils deviennent prisonniers de ce besoin…

En résumé : curiosité, conformisme (ou respect humain), évasion.

C’est le fruit de l’esprit de la société actuelle, avec, à la racine, le refus de Dieu, qui entraîne le refus des lois naturelles.

Petit, « l’enfant roi » a pu se permettre toutes les expériences, ses parents ne voulaient rien lui interdire. Il n’a plus la force d’accepter les exigences de la vie. Il est isolé, soumis à l’hédonisme (philosophie du plaisir) et à l’égoïsme ; il est privé de cette structure de caractère que donne « l’effort surmonté » ; et sa raison et sa volonté sont incapables de résister aux tentations.

Les jeunes n’ont souvent pas la chance de trouver à la maison l’équilibre dont ils ont besoin.

Et c’est aussi, et nous sommes tous concernés, la faiblesse de notre nature humaine, avec les fragilités que nous a laissées le péché originel.

Nous pouvons nous trouver dans une situation où il faudra être capable de dire non, (et cela pourra être difficile) à des relations, à des amis, qui « jouent » avec la drogue sans se rendre compte des risques, ou qui sont, hélas pour eux, déjà tombés sous son emprise.

Pour résister, il est indispensable de :

– garder une bonne distance par rapport aux drogués, même quand nous les côtoyons tous les jours en classe ou à l’université.

– être clair dans sa tête – la drogue est un esclavage- ne jamais pactiser.

Le risque ne disparaît pas avec l’âge, et certains, jeunes ou moins jeunes, qui ont des métiers très exigeants, et travaillent par exemple dans la communication, ou dans des cabinets d’affaire, se droguent pour se dynamiser, « se doper », et tenir le coup ; ils se détruisent pour réussir leur vie professionnelle !

La vigilance et l’équilibre de vie sont essentiels : que ce soient les cigarettes, l’alcool, ou les médicaments ; tout est question de mesure ! Certains remèdes sont utiles mais il faut savoir ne pas en être dépendant. (Attention par exemple aux médicaments qui aident à dormir). Il s’agit d’être soi-même, sans « béquilles », conduit par sa volonté éclairée par la raison.

Pour des parents, la meilleure prévention est de donner une éducation équilibrée, de transmettre la foi et la morale, et de veiller aux amitiés. Il est très important d’entretenir un bon contact avec les enfants, pour pouvoir les mettre en garde de façon réaliste. Un foyer sain et équilibré, avec des parents présents, permet aussi aux jeunes de ne pas chercher ailleurs le bonheur qu’ils ne trouvent pas chez eux.

L’éducation de la volonté aide les enfants à être assez forts et fermes pour résister librement, par eux-mêmes, et avec l’aide de Dieu, à la tentation d’essayer la drogue, et d’en devenir les esclaves.

Anne

[1] Baromètre de l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT).

[2] Composé chimique, biochimique ou naturel.

[3] Si 7 % des consommateurs de boissons alcoolisées sont des alcooliques, dépendants de leur boisson, 95 % des drogués sont sous la dépendance de leur drogue.

[4]« Enfance sans drogue »

[5] Régulièrement : au moins 10 consommations de cannabis par mois.

[6] delta-9-tetrahydrocannabinol : substance chimique, principal principe actif du cannabis.

[7] on les appelle « récepteurs cannabinoïdes »

Un peu de douceur…

Un peu de douceur dans ce monde de brutes

Une grande règle d’or à ne jamais oublier : « s’il vous plaît, X… », ou « s’il te plaît, Y… »

Pourquoi ? Parce que la charité aime ces formules qui montrent que même si l’on serait en droit d’exiger, on tempère cette exigence par la vertu de bienveillance. N’oublions pas comment Notre-Dame s’est adressée à Sainte Bernadette pour lui formuler sa demande : « Voulez-vous me faire la grâce de venir ici pendant quinze jours ? » En effet même si l’on est en droit d’imposer sa volonté ou d’exiger quelque chose d’un inférieur : en tant que parent pour un enfant, supérieur hiérarchique pour un employé, ou client devant un guichet, la meilleure façon d’exprimer son souhait est de faire preuve de bienveillance et non d’exigence.

De plus cela a pour effet de concilier en même temps la bonne volonté de celui qui va y répondre, et d’attirer son adhésion. Le plus simple moyen d’y mettre les formes est d’employer le « mot magique », suivi du nom de celui auquel on s’adresse, en ne le traitant pas avec suffisance. Cette simple marque de déférence entraîne la réciproque chez celui qui est ainsi respectueusement interpelé.

Plus rapide, plus efficace…

PLUS RAPIDE, PLUS EFFICACE …

PLUS ECONOMIQUE !

 Les 1001 astuces qui facilitent la vie quotidienne !

Une rubrique qui tente de vous aider dans vos aléas domestiques.

 C'est le moment du grand ménage de Printemps !

En avant l'aspirateur … Et gare à la consommation des sacs, assez coûteux il faut l'avouer !

Et bien, lorsque votre sac d'aspirateur est plein, vous n'allez plus le jeter.

Vous allez le vider avec précaution dans votre poubelle. Comment ? En découpant un morceau large comme votre demi-paume dans le bas du sac, (surtout pas du côté de la pièce plastique qui s'enclenche au niveau du tube d'aspiration).

Ce n'est pas le plus agréable, bien sûr. Mettez des gants !

Et après ? Vous prenez du gros scotch marron (ou « ruban adhésif d'emballage marron »)  qui sert à fermer les cartons. Vous recollez les deux parties du sac. Et c'est reparti au moins pour un tour ...

La première fois, j'ai même constaté que mon aspirateur était plus efficace. Car le sac en service était un peu grand pour la capacité de l'aspirateur. Les modèles de sacs vendus sont souvent des calibres communs à plusieurs marques, et la taille n'est pas forcément parfaitement adaptée.

Je le redis : que les championnes de l'organisation n'hésitent pas à partager leurs trésors d'organisation en écrivant au journal. Partageons nos talents …