Auteur/autrice : Foyers ardents
Prière des parents
Prière des parents chrétiens
Seigneur Jésus, Educateur suprême des âmes, je vous remercie de m’avoir appelé à cette tâche magnifique de l’éducation.
Faites que je sois de plus en plus digne du beau nom de père que me donnent les enfants, comme ils le donnent à votre Père des cieux – du beau nom de mère qu’ils donnent à la Vierge Marie.
Apprenez-moi à traiter les âmes de mes enfants avec la délicatesse et les infinies patiences de votre Saint-Esprit.
Donnez-moi votre lumière pour mieux lire dans les cœurs, votre perspicacité pour discerner votre œuvre et pénétrer vos desseins, votre miséricorde pour pardonner et guérir, votre sagesse pour conseiller et orienter les jeunes vies qui me sont confiées.
Que mes gestes soient vos gestes, que mes mains soient vos mains, que mes lèvres soient vos lèvres, que ma vie soit votre vie afin que rien ne parvienne à ces enfants qui ne soient pas divin, et que je ne gène pas votre action dans leurs âmes.
Donnez-moi de ne pas dévier dans mon éducation des grandes lois de votre Rédemption, de ne jamais oublier que l’essentiel est que le Royaume soit prêché à tout homme qui nait en ce monde, et de transmettre à mes enfants, au nom de votre Eglise, votre Evangile dans toute sa vérité et dans toute sa beauté.
Et vous, Vierge Marie, que Dieu a donnée à l’Enfant-Jésus comme éducatrice, obtenez-moi votre docilité au Saint Esprit et votre soumission aux volontés divines afin que je sache toujours reconnaitre les desseins du Père sur chacun de mes enfants, et l’aider à trouver la place que lui destine votre Fils dans la grande œuvre du salut du monde.
Ainsi soit-il
Quae est ista – César Franck
Notre citation pour mai et juin 2017, afin que notre humeur
soit belle et gracieuse quel que soit le temps !
« Au temps, comme il vient, dis merci,
Au soleil, à la pluie aussi,
Et tâche d’être, et le souhaite,
Grenouille et cigale à la fois,
Pour chanter tout ce que tu vois
De bon cœur et de belle voix. »
Jean Richepin
Quae est ista
(César Franck – Offertoire, 1861)
Interprétation par le Chœur hongrois Kodaly de Debrecen
Cette prière a été écrite pour les fêtes de l’Immaculée Conception, de l’Assomption, et du mois de Marie, puis orchestré en 1877. C’est une œuvre pour solistes et chœur mixte à 3 voix avec orchestre ou orgue, harpe et contrebasse, Quasi largo, la bémol majeur.
Lien pour télécharger et enregistrer sur clé usb : https://www.bing.com/videos/search?q=quae+est+ista+c%c3%a9sar+franck&&view=detail&mid=721D2C8D72590D6F779B721D2C8D72590D6F779B&FORM=VRDGAR
Choeurs:
Quae est ista quae progreditur |
Qui est celle-ci qui s’avance comme l’aube naissante, |
avec parties Solo (Basse / Ténor) :
Posuit Rex diadema regni in capite ejus
Tu gloria Jerusalem Tu laetitia Israel Tu honorificentia populi nostri
Maria, dominare nostri, Tu et filius tuus, Intercede ad Dominum Deum nostrum |
Le roi posa le diadème du règne sur sa tête.
Tu es l’exaltation de Jérusalem, la grande joie d’Israël, la grande fierté de notre race.
Marie, règne sur nous, Toi et ton Fils, intercède auprès de Dieu, notre Seigneur. |
Croque Cake et Pavlova…
Croque cake
Ingrédients pour 8 personnes
* une dizaine de tranches de pain de mie
* 150 g de saumon fumé
* un bocal d’asperges en conserve
* 3 œufs
* 20 cl de crème liquide
* aneth
* sel, poivre
Préparation
Préchauffez le four TH 6 à 180°.
Dans un saladier, battre les œufs avec la crème, l’aneth, le sel et le poivre.
Dans le fond d’un moule à cake, déposez des tranches de pain de mie découpées aux dimensions du moule. Versez la crème ; disposez les tranches de saumon et une rangée d’asperges. Recouvrez de pain de mie et recommencez l’opération jusqu’en haut du moule en terminant avec des tranches de pain de mie arrosées du mélange.
Enfournez 30 à 40 min à 180°. Démoulez une fois refroidi.
Dégustez chaud, tiède ou froid, découpé en tranches, accompagné d’une salade verte par exemple.
Vous pouvez varier à l’infini : saumon, poireaux, fromage de chèvre fondu dans la crème, etc…
.Pavlova aux fruits du jardin
Proportions pour 10 personnes
– 6 blancs d’œuf
– 340 g de sucre
– 1 cuillère à café de vinaigre
– 1,5 cuillère à café de Maïzena
Crème Chantilly :
50 cl de crème fraîche entière très froide
2 sachets de sucre vanillé
Fruits du jardin : fraises, framboises, kiwis, myrtilles, mûres…
Préchauffer le four à 120°.
Montez votre meringue. Ajouter le sucre en pluie, la maïzena, le vinaigre. Le mélange doit être bien brillant et la consistance en bec d’oiseau.
Sur une feuille de papier sulfurisé, sur laquelle vous aurez tracé au préalable le diamètre maximum de votre plat (-5 cm), étalez votre meringue en forme de nid.
Vous pouvez faire le tour à la poche à douille ou créer des volutes sur les bords.
Enfournez durant 1h – 1h 15 et laissez bien refroidir dans le four.
Montez la crème Chantilly. Remplissez en le centre de la Pavlova.
Placez harmonieusement les fruits sur le nid !
Régalez-vous avec ce dessert magnifique, peu couteux et extrêmement facile à faire !
Variantes : vous pouvez conjuguer ce dessert à l’infini : en portions individuelles, au café et copeaux de chocolat, à deux étages, garni avec du mascarpone pour un dessert plus léger…
Deux beaux Textes
Deux vérités à rappeler aux mamans:
1- Tous les vôtres, Mesdames, continuent de vivre de votre vie réelle, pas seulement de ce que vous paraissez être, de ce que vous êtes et de ce que vous ignorez peut-être, de ce que vous êtes devant Dieu. On met les siens à son niveau. Vos défauts font du mal ; vos acquisitions généreuses et courageuses font du bien, tout cela marque les vôtres.
2- La seconde vérité, c’est que, en vous, il y a plus que vous. En vous, il y a Dieu. Votre vie religieuse, ce n’est pas quelque chose qui est plaqué sur votre vie de femme ; ce n’est pas seulement un lieu où vous pouvez vivre solitaire et vous réfugier ; votre vie religieuse est dans votre vie de femme, d’épouse, de maîtresse de maison ; elle représente un niveau auquel vous devez élever toute votre vie ; « Dieu est le centre de nos âmes ». Ne soyez pas femme et chrétienne mais femme chrétienne. Toutes les fois que vous faites un effort sérieux pour que votre âme aille mieux, les autres en bénéficient ; se laisser aller, reculer devant la tâche nécessaire, ce serait les abandonner.
Aux chrétiens de donner le ton, de savoir devant Dieu ce qu’ils doivent faire, de le faire bravement et intelligemment !
Mgr Blanchet. Récollection du 19/05/1952
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La joie
Ne sois pas de ceux qui s’imaginent qu’ils ne peuvent jouir de leur bonheur qu’en s’éloignant de Dieu ; pour eux il semblerait que Dieu ne veut que le sacrifice, la privation de toute joie légitime et que, plus ils seront dans la tristesse ici-bas, plus ils mériteront pour là-haut. Erreur grave ! ils oublient que toutes les joies sont un don du Père à ses enfants et que ce ne serait pas honorer le Père que de mépriser ses dons.
Ils oublient aussi que ce n’est pas la peine qui fait le mérite, mais la charité généreuse, l’amour de la volonté divine. La souffrance peut être une occasion de mérites plus grands, parce qu’elle demande pour son acceptation, un amour plus généreux. La joie peut donc être aussi méritoire de grâces, si on sait l’accueillir comme un don de la Miséricorde et de la Bonté du Père. Ne m’éloigne pas de ton bonheur. Je te demande au contraire de m’y associer pour que je puisse t’aider à le sanctifier.
Mgr Guerry – 1946