Bavoir

Chères couturières,

Joignez l’utile à l’agréable ! Réalisez ce joli bavoir doublé en tissu éponge pour votre bébé qui perce ses dents et mouille régulièrement son petit haut, ou pour faire un joli cadeau de naissance très simple à réaliser et bien efficace.

Nous vous souhaitons une bonne couture !

Atelier couture

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L’amour-propre

Ma chère Bertille,

 Je pense que tu dois particulièrement apprécier le thème de ce numéro, toi qui es tellement attachée à ta famille et je suis contente de pouvoir approfondir avec toi tout ce qu’il représente.

Je voudrais en profiter pour te faire découvrir le plus grand ennemi de l’entente familiale. Tu crois peut-être le connaître ? Sans doute penses-tu que je vais te parler des méfaits de la langue ? Eh bien, non ! Car pour ma part, je pense plutôt à celui qui est à la racine de tout : l’amour-propre !

N’est-ce pas lui le véritable responsable d’un mot un peu aigre, d’une réflexion désagréable, de rancunes tenaces et de toutes ces petites ou grandes rancœurs qui empoisonnent l’esprit de famille…? N’est-ce pas lui qui nous chante à l’oreille qu’il faut que chacun nous reconnaisse comme « le meilleur », celui qui « a toujours raison », celui qui « sait toujours bien s’y prendre », et qui nous inspire sans cesse des mots ou des pensées (car même les pensées sont coupables) contre la charité ? Il nous rend délicats, ombrageux, soupçonneux, rigides et excessifs sur nos droits, aisés à offenser ; il entretient dans nos cœurs une certaine malignité, une joie secrète des petites mortifications qui arrivent au prochain…

Et pourtant… Ceux qui nous regardent ne devraient-ils pas pouvoir s’exclamer : « Voyez comme ils s’aiment » ?

Ne récitons-nous pas soir et matin la prière du Pater : « pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons… » ? Pourquoi alors garder dans notre cœur toutes ces rancunes contre l’un ou l’autre ?

Ne disons-nous pas avec conviction : « Que votre volonté soit faite » ? Pourquoi croyons-nous alors que les autres doivent nous être reconnaissants puisque tout vient de Dieu et de Dieu seul ?

Ne communions-nous pas chaque dimanche ? Pourquoi alors déchirons-nous ensuite à belles dents la réputation de notre prochain ?

N’égrenons-nous pas avec régularité les grains de notre chapelet pour tous ceux qui sont dans l’épreuve ? Pourquoi alors dans le secret de notre cœur avons-nous eu cette petite joie du malheur qui arrive aux autres ?

 

Prenons quelques instants pour examiner si vraiment nous avons « l’esprit chrétien » selon les paroles de l’Evangile. Osons marcher vers la vérité lumineuse et écoutons Celui qui a dit :

– « Je veux la miséricorde, et non le sacrifice1 » et regardons alors avec amour celui à qui nous faisons l’aumône d’un sourire ou d’une aide.

– « Aimez vos ennemis2 » et recommençons tous les « Notre Père » que nous avons dis alors que nous avions de l’amertume dans le cœur.

– « Ne jugez point, afin que vous ne soyez point jugés3 », et prions pour celui qui erre plutôt que de l’enfoncer davantage.

– « Si quelqu’un veut être le premier, il sera le dernier de tous, et le serviteur de tous4.» Oublions nos susceptibilités mesquines et notre besoin instinctif de briller en restant à notre place avec le sourire.

– « Nul ne peut servir deux maîtres5 » et demandons-nous si nous n’essayons pas constamment de faire des compromis dangereux pour notre âme tout en maintenant une apparence un peu pharisienne…

– « Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il se renonce lui-même, qu’il porte sa croix chaque jour, et me suive6 » et humblement examinons si vraiment nous suivons le Christ honnêtement et non pas de façon hypocrite, car accomplir la loi est nécessaire mais n’est pas suffisant. On n’est pas chrétien parce que l’on pratique. On pratique parce que l’on est chrétien. Dieu nous veut tout entiers ; Il va jusqu’au plus profond de l’homme ; non pas seulement dans ses apparences ou ses actes, mais aussi au fond de son cœur et de sa conscience.

Notre christianisme doit être la source d’inspiration vivante de chacun de nos actes ou de nos pensées. Alors seulement nous aurons vraiment compris le message du Christ qui est venu sur terre pour nous dire : « Mes enfants, aimez-vous les uns les autres, comme je vous ai aimés ! »

Voilà ma chère Bertille, ce que je voulais partager avec toi aujourd’hui afin de te faire découvrir le grand ennemi de l’esprit de famille, – au sens large aussi car ne sommes-nous pas tous frères ?

 Je te souhaite déjà une très belle fête de Noël, grande fête de famille s’il en est, où la paix règnera là où l’esprit chrétien sera.

Avec toute mon affection,

Anne

 

1 Saint Matthieu, 12-7

2 Saint Matthieu, 5-44

3 Saint Matthieu, 7-1

4 Saint Marc, 9-34

5 Saint Matthieu, 6-24

6 Saint Luc, 9-23

 

 

Maison de famille

Depuis la plus haute Antiquité, la notion de famille s’est ancrée dans un territoire, qui limitait l’influence de la familia romaine, du clan mérovingien ou de la demeure médiévale. Mais cette famille avait souvent un sens beaucoup plus large que le nôtre car elle regroupait les familiers, les domestiques, les paysans ou les ouvriers, tous ceux qui fréquentaient la maisonnée et la zone géographique sous son influence.

Il ne nous reste pas grand-chose de cette interaction avec une terre, un village, ou une région. L’appartenance à une famille se limite à nos proches, et nombreux sont les jeunes qui connaissent à peine leurs grands-parents, ou les frères et sœurs de leurs parents. C’est une notion très moderne qui va de pair avec la dislocation de la cellule familiale, qui n’est plus le noyau dur de la société contemporaine, le solide fondement de l’ordre chrétien. Cela crée des individus sans base, sans racine, exportables dans n’importe quel pays, sans fidélité ou attachement à la terre de leurs ancêtres, sans atome crochu avec ceux de leur sang.

Pour lutter contre cette tendance lourde de conséquences, il est nécessaire de « revenir à la terre », d’avoir un lieu d’ancrage quelque part en province, de stabiliser les siens autour d’un lieu où ils puissent venir se retrouver, se ressourcer, se reposer, reprendre leur souffle, être chez eux. C’est la raison d’être de la « Maison de Famille », qui est le lieu où l’on maintient l’esprit de famille, où l’on s’entraide, où l’on sait que toutes les générations trouveront leur réconfort, où l’on cultive la confiance et la générosité.

Rares sont encore les maisons de famille qui subsistent à travers les siècles et restent dans la même lignée au fil du temps, mais elles sont souvent le témoignage matériel de la pérennité de cette institution et de la grâce divine du mariage, de la force du clan familial chrétien qui a perduré tout au long de ces générations.

 

Qu’il est bon d’habiter ensemble !

Il y a des familles rayonnantes d’une joie vraie, unies en toutes circonstances, fortes d’un esprit commun, d’une touchante solidarité, et cela se voit au premier coup d’œil ! Est-ce donc possible ? Bien sûr que cela est possible, même si toute œuvre humaine n’est jamais parfaite, il suffit de le vouloir, de le décider et d’en prendre les moyens.

 

Vouloir un foyer chrétien uni 

Pour créer, maintenir ou renforcer l’unité familiale, il est tout d’abord nécessaire de croire que cette unité est possible, et se dire qu’elle ne pourra se faire sans notre volonté. Unis par les liens du sang, les membres d’une même famille sont également unis par l’union de vie surnaturelle : union de la grâce, de la foi, de la charité. « La grâce ne détruit pas la nature mais la perfectionne.» « La charité maintient les affections naturelles dans l’ordre en même temps qu’elle les élève, qu’elle les purifie, qu’elle les ennoblit et, en un mot, les surnaturalise1.» La charité entraîne ainsi l’homme à aimer toujours davantage les membres de sa famille pour leurs biens supérieurs que sont la vie éternelle, la grâce, les vertus. Toute la famille doit donc être également unie par le désir de progresser spirituellement.

 

Ce qui unit 

La prière : « Si la famille prie, elle vit, si elle prie unie elle vit unie.» (Pie XII) On ne recommandera jamais assez de dire la prière en famille. L’enfant qui aura vu son père, sa mère à genoux reproduira naturellement ce geste tout au long de sa vie. Prière du matin, du soir, examen de conscience, chapelet ainsi qu’une éducation spirituelle régulière donneront le sens de la présence habituelle de Dieu dans la petite âme. Le dimanche, toute la famille assistera regroupée à la messe, comme une petite Église domestique qu’elle est. On est plus fort lorsque l’on est ensemble, on prie mieux et on se tient bien en voyant Papa et Maman à côté.

 

– L’ambiance : si les parents sont eux-mêmes bien unis, se témoignant délicatement leur affection mutuelle, cela engendrera un climat de paix, de sérénité qui aura beaucoup de retentissement sur le climat général de la famille. Les enfants reproduiront entre eux, et envers leurs parents, des gestes affectueux ; se parleront comme ils entendent leurs parents se parler (ou leur parler) ; seront joyeux si l’ambiance y entraîne et qu’ils ont le cœur léger. Et s’il arrive que les parents aient besoin de s’expliquer, qu’ils le fassent sans éclats, et en dehors des enfants. Ou si encore un mouvement d’impatience ou un mot vif venait à fuser, que les parents s’en demandent pardon aussitôt.

 

L’atmosphère de la maison doit être joyeuse et chaleureuse. La joie n’est pas le plaisir, la facilité. Non, la joie chrétienne n’amollit pas, ne décourage pas, au contraire elle ranime l’énergie dont elle est le reflet, et s’accroît elle-même par le combat. La joie qu’il faut établir en famille est donc la joie de l’effort, la joie de la victoire, la joie du sacrifice. Ce sourire dans la générosité qui plaît tant à Dieu ! « La seule manière qui soit vraie, utile, chrétienne, de regarder cette terre de péché, c’est celle du vainqueur ; il faut racheter le monde avec joie2. »

 

– Tout ce qui ne se dit pas mais qui se vit comme une évidence : le respect de soi et celui des autres. La valeur morale des gestes comme celle du langage porteront l’enfant au respect ou à la grossièreté, à la délicatesse ou à la brutalité. Si le père de famille se laisse aller à des vulgarités, comme jurer au volant de sa voiture, inévitablement les jeunes enfants répèteront très spontanément ce qu’ils auront entendu ! Les parents veilleront sur leur propre langage, et ne se laisseront pas aller à des paroles ou à des expressions qui témoigneraient qu’ils ont perdu le contrôle d’eux-mêmes. Ils auront une autorité juste, ne critiqueront pas leur prochain, resteront bienveillants et sans rancune, pardonnant toujours même s’ils ont été péniblement offensés. À ce sujet, il y a des « affaires de grandes personnes » qui ne concernent en rien les enfants et que les parents doivent garder pour eux. Cela ramène plus vite une paix de l’esprit, puis le pardon, plutôt que de troubler toute la famille. « Toute vérité n’est pas toujours bonne à dire ! »

 

– Le règlement familial : « La liturgie de l’Église se compose d’un très riche ensemble de rites, réguliers et obligatoires. Elle compte sur la puissance de ces rites pour nous inspirer le respect et l’amour que nous devons avoir pour Dieu3.» Si donc on veut développer dans l’âme des enfants de bonnes habitudes tout empruntes de sentiments chrétiens, il faut qu’il y ait des règles, pour ainsi dire des « rites chrétiens » de la vie de famille, bien définis, et respectés par tous. Ces rites, pour être efficaces, seront stables et communs à tous les membres, car la famille a besoin d’homogénéité pour conserver la force de sa vitalité et de son caractère, pour calmer l’agitation de la vie et faire régner la paix. En rentrant chez soi, on les y trouvera et l’on se ressourcera. « La règle n’est pas un obstacle pour l’enfance. Elle est un besoin, elle est une nécessité4. »

 

Commençons par bannir les caprices, les plaintes, le mensonge, les gros mots, les portes qui claquent, au profit de la franchise, la bonne humeur, la confiance mutuelle, l’esprit de service… Ensuite, ne nous critiquons jamais entre nous. Protégeons notre intimité familiale en « réglant nos affaires » entre nous, et toujours chrétiennement ! Pensons surtout à voir notre prochain avec le regard de la foi plutôt que celui de la passion, en nous efforçant de bien vite pardonner, et du fond de notre cœur.

 

Les horaires et la régularité dans le rythme quotidien ou hebdomadaire sont un socle pour la fidélité aux petites, puis aux grandes choses.

Le milieu familial doit aussi avoir la « splendeur de l’ordre » (saint Augustin). Le désordre matériel entraîne en effet l’esprit à ne pas plus s’étonner du désordre des idées et de la conduite que du désordre de sa chambre. Le mot « désordre » lui-même est devenu synonyme de « dérèglement des mœurs ». Il faut donc exiger que, dans leur petit domaine, les enfants rangent eux-mêmes le fatras de livres, de jeux et de vêtements qui traînent dans leur chambre. Si l’on a eu cette exigence pour eux et que le reste de la maison est habituellement propre et ordonné, les petits s’imprègneront naturellement de ce goût de l’ordre et acquerront une qualité éminente : la maîtrise de soi.

Il est nécessaire que tous se sentent bien en famille. C’est à chacun d’y mettre du sien, d’y contribuer en une fusion des pensées, des sentiments et des vertus comme les flammes entremêlées d’un même feu consumant l’égoïsme, l’individualisme, les recherches de soi… Toutes ces duretés étouffent un véritable esprit de famille. C’est de tout cela que dépend le bonheur d’un foyer où il fait bon se retrouver le soir, et « habiter ensemble ».

 

   Sophie de Lédinghen 

 

Les oligo-éléments

Les oligo-éléments sont des éléments contenus dans un sel minéral. Ils sont nécessaires à la vie de l’organisme mais en quantité très faible. On distingue les oligo-éléments essentiels dont la carence est dangereuse pour l’organisme, mais dont l’excès peut aussi provoquer des troubles et les oligo-éléments qui ne sont pas essentiels.

Cette étude sera donc une simple présentation des oligo-éléments et nous verrons par la suite dans quelles maladies il sera possible de les utiliser.

OLIGO ELEMENTS ESSENTIELS :

– Le Chrome :  il est présent dans les céréales complètes et les œufs. Il participe à la fabrication de l’insuline, hormone hypoglycémiante fabriquée par le pancréas ; il a donc sa place dans le traitement du diabète et les cures d’amaigrissement.

– Le Fer : retrouvé dans les viandes rouges et les légumes secs, il est très important pour l’organisme, avec son rôle dans l’oxygénation du sang, le maintien des fonctions cognitives, le système immunitaire.

– Le Fluor : présent dans les aliments comme le thé, les poissons, le sel, il participe à la protection de l’émail dentaire donc il est essentiel pour prévenir les caries.

L’iode : sa présence dans le milieu marin permet de le retrouver dans les fruits de mer, les algues, le sel iodé. Il intervient dans la fabrication des hormones thyroïdiennes.

– Le Cobalt : il se retrouve dans les fruits, les légumes, les viandes, les poissons. Il a un intérêt pour le traitement de l’anémie des femmes enceintes.

– Le Cuivre : l’oligo-élément cuivre est présent dans divers aliments tels que les légumineuses et les oléagineux. Il est notamment indiqué en tant qu’antioxydant, et contre les états infectieux et rhumatismaux.

– Le Manganèse : on retrouve le manganèse dans les céréales complètes et de nombreux végétaux dont les bananes. Il participe à la protection des os et à la production d’insuline. Il est notamment utilisé pour lutter contre la fatigue. Dans l’alimentation du sport, le manganèse bloque les radicaux libres et réduit ainsi les inflammations tissulaires.

– Le Molybdène : disponible dans les oléagineux et les légumineuses, le molybdène est utilisé pour la production des protéines. Il est généralement présent dans des cures permettant de traiter des pathologies touchant les reins ou le métabolisme.

– Le Nickel : oligo-élément que l’on retrouve notamment dans le soja, le chocolat et les oléagineux. Il sert principalement à l’assimilation et au métabolisme du fer par l’organisme.

Le Sélénium : vous le trouvez dans les produits de la mer et dans les œufs. Le sélénium a un rôle antioxydant, immunitaire et anti-inflammatoire. Une cure de sélénium est aussi pratiquée par les sportifs contre la fatigue musculaire.

Le Vanadium : les produits de la mer, les viandes, les champignons et les produits laitiers sont des aliments contenant du vanadium. Il régule certaines enzymes de l’organisme, favorise la minéralisation des os et des dents, lutte contre le mauvais cholestérol.

Le Zinc : présent dans les huîtres, les viandes, les céréales complètes et les légumes secs. On le retrouve souvent dans les cures pour la peau et les cheveux. Il fait également partie des aliments antioxydants. Dans l’alimentation du sport, la cure de zinc renforce les articulations et les ligaments.

– L’Étain : les fruits en conserve sont parmi les aliments les plus riches en étain. Il semble jouer un rôle antioxydant.

OLIGO-ÉLÉMENTS NON-ESSENTIELS :

Les oligo-éléments non-essentiels ne sont pas considérés comme indispensables dans le sens où leur carence n’entraîne aucun effet négatif sur l’organisme. En revanche, il ne faut pas les consommer de manière excessive.

Aluminium : Il est surtout employé pour favoriser le mélange et l’absorption des autres oligo-éléments. Il peut également être recommandé contre l’insomnie et l’anxiété.

Arsenic : présent dans le riz et les légumes, l’arsenic contribue à la croissance et à la reproduction. Toutefois, il présente un fort taux de toxicité lorsqu’il est ingéré en trop grande quantité.

Baryum : le baryum est surtout présent dans l’eau de source naturelle ayant été en contact avec des roches. Il s’agit d’un oligo-élément non essentiel qui peut se révéler toxique en trop grande quantité.

– Brome : présent dans les céréales, la viande et les champignons, le brome a un effet sédatif, mails il peut déclencher des réactions cutanées.

– Silicium : oligo-élément que l’on trouve notamment dans les céréales complètes, le silicium est utile à la synthèse du collagène, de l’élastine et de l’acide hyaluronique. Il est utilisé pour des cures permettant de renforcer les os et les cartilages et pour diminuer les rides.

– Argent : l’argent sous forme d’oligo-élément est utilisé comme cure antibactérienne et contre les différentes infections.

– Titane : non essentiel, le titane ne semble pas présenter de vertus particulières pour notre organisme.

– Plomb : en tant que métal lourd, le plomb est à éviter, car il présente une forte toxicité pour notre organisme.

– Cadmium : il s’agit également d’un métal lourd plutôt nocif pour notre santé.

– Mercure : le mercure est l’un des métaux lourds qui se révèle toxique pour notre organisme. Toutefois, on le trouve sous forme d’oligo-élément colloïdal utilisé dans certains traitements antiseptiques pour la peau et dans certains traitements contre l’infection génito-urinaire.

Après cette introduction, nous présenterons par la suite des cas concrets de maladies où les oligo éléments peuvent être utilisés en complément de traitements allopathiques ou bien seuls en modification du terrain.

 

Dr Rémy