Actualités culturelles

  • Amboise (France, Indre-et-Loire)

Après plus de deux ans de travaux, le colossal chantier de restauration de la chapelle Saint-Hubert au château d’Amboise, s’est enfin achevé en juin 2024. Véritable joyau du gothique flamboyant, cet oratoire des rois de France, construit en 1493 par Charles VIII, n’avait pas connu de réfection de cette ampleur depuis 150 ans. Ce sont une dizaine de corps de métiers d’art qui se sont réunis pour rendre au monument sa beauté initiale : toiture, charpente, maçonnerie, sculpture, vitraux, rien n’a échappé à la vigilance des experts. Ne manquez pas de venir admirer de nouveau cet édifice à la dentelle de pierre qui surplombe l’ensemble de la ville. 

 

  • Burgstein (Allemagne)

Des fouilles archéologiques menées dans les ruines du château de Burgstein dans la région de Reutlingen, au sud de l’Allemagne, ont conduit à la mise à jour de pièces de jeux datant du XIe ou XIIe siècle. Composé d’un dé à six faces, de quatre pions en forme de fleur (probablement issus d’un jeu de tric trac) ainsi que d’un cheval de jeu d’échecs, cet ensemble est sculpté dans du bois de cervidé et constitue une découverte unique. Apparu en Inde au VIe siècle, le jeu d’échecs s’est répandu ultérieurement en Occident : la toute première évocation de ce jeu dans les textes européens date seulement de 1008. Jusqu’à nos jours, on ne conservait aucune pièce de jeu antérieure au XIIIe siècle, ce qui fait de la découverte allemande une grande première dans l’histoire de l’archéologie. Réservé exclusivement à la noblesse jusqu’au XIIIe siècle, le jeu d’échecs faisait partie des sept compétences qu’un chevalier devait savoir maîtriser.

 

  • Washington (Etats-Unis)

C’est à Washington qu’une statue colossale d’Abraham Lincoln avait été réalisée en cire, dans le cadre d’une exposition temporaire intitulée « 40 Acres : Camp Barker ». Réplique d’une véritable statue du Lincoln Memorial de Washington, cette œuvre haute de presque deux mètres et pesant plus d’une tonne a malencontreusement souffert des fortes chaleurs survenues au Etats-Unis… Désormais, l’ancien président américain paraît bien avachi sur son fauteuil : sa tête et son bras, ainsi qu’une partie de sa chaise ont en effet fondu au soleil !

 

  • Paris (France)

C’est une nouvelle querelle des Anciens et des Modernes qui oppose aujourd’hui l’Etat français aux spécialistes du patrimoine. En effet, réunie le 11 juillet dernier, la Commission Nationale du Patrimoine et de l’Architecture (CNPA), composée de 26 membres, a refusé à l’unanimité l’installation de vitraux contemporains dans les chapelles de Notre-Dame, comme l’avait annoncé Emmanuel Macron en décembre 2023. S’appuyant sur la fameuse Charte internationale sur la conservation et la restauration des monuments (ou Charte de Venise), les experts rappellent que « la création artistique dans les monuments historiques ne peut conduire à sacrifier des éléments patrimoniaux » (Albéric de Montgolfier, président de la CNPA). Non touchés par l’incendie de 2019 et classés Monuments Historiques au même titre que le reste de l’édifice, les 6 vitraux de Viollet-Le-Duc n’ont en effet aucune raison d’être retirés. Le concours lancé par le ministère en vue de la création de nouvelles œuvres est néanmoins maintenu… L’Etat ira-t-il jusqu’à fouler aux pieds l’avis des experts ? Une histoire à suivre…

 

Charlotte à l’ananas

Ingrédients pour 6-8 personnes :

– 1 moule à charlotte de taille moyenne

– 24 biscuits à la cuillère

– 1 boîte moyenne d’ananas au sirop

– 8 petits-suisses

 

Préparation : se prépare la veille !

– Mettez le jus de la boîte d’ananas dans une assiette creuse. Coupez les rondelles d’ananas en petits morceaux. Trempez les biscuits dans le sirop d’ananas, puis disposez-les au fond et sur les parois du moule à charlotte.

– Enlevez les petits-suisses de leurs pots et égouttez-les un peu. Mettez-les dans un bol.

– Remplissez-le moule presque à ras bord en alternant une couche de petits-suisses, une d’ananas…

– Finissez avec des biscuits trempés dans le sirop. Posez une assiette sur le moule. Gardez au frais pendant huit heures. Démoulez votre gâteau avant de le servir.

 

Conseils et astuces :

– Vous pouvez mettre des fruits rouges pour décorer.

– On peut ajouter aussi des raisins dans le bol de petits-suisses si vous aimez bien cela !

– N’oubliez pas de vous y prendre en avance pour que la charlotte ait le temps de bien prendre !

– Dessert très simple à faire avec peu d’ingrédients, peu onéreux et sans cuisson. Pratique pour un dessert d’étudiant ou pour des mamans pressées !

 

Terrine estivale

Ingrédients pour 6-8 personnes :

– 6 courgettes

– 300 g de saumon cru ou thon

– 4 œufs

– 1 pot moyen de crème fraîche épaisse

– 35 g de gruyère râpé

– 1 noisette de beurre

– Sel, poivre, muscade (facultatif)

 

Préparation :

– Beurrez un moule à cake. Lavez les courgettes. Coupez-les en morceaux, mettez-les dans une casserole d’eau salée et faites-les cuire 25 minutes à feu vif.

– Battez ensemble les œufs, la crème fraîche, le gruyère, le sel et le poivre dans un saladier. Ecrasez les courgettes dans une passoire et mélangez-les aux œufs.

– Allumez le four à 200°C. Coupez le saumon en grosses bandes. Versez la moitié du saladier dans le moule et posez les bandes de saumon sur les courgettes. Versez le reste du saladier dans le moule. Mettez au four pendant 50 minutes. Laissez refroidir la terrine et démoulez-la juste avant de la servir.

 

Conseils et astuces :

– Vous pouvez remplacer le saumon par une boîte de thon ou du jambon pour une terrine plus simple.

– Une recette pratique pour un vendredi !

 

Trouver la paix avec Marie dans le monde d’aujourd’hui

Saint Louis-Marie de Montfort a joui plusieurs fois du charisme de prophétie. On peut lire, par exemple, dans sa Prière embrasée : « Votre divine loi est transgressée, votre Evangile est abandonné, les torrents d’iniquité inondent toute la terre et entraînent jusqu’à vos serviteurs, toute la terre est désolée, l’impiété est sur le trône, votre sanctuaire est profané et l’abomination est jusque dans le lieu saint… Tout deviendra-t-il à la fin comme Sodome et Gomorrhe ?   Ah ! Permettez-moi de crier partout : au feu, au feu, au feu ! A l’aide, à l’aide, à l’aide ! Au feu dans la maison de Dieu, au feu dans les âmes, au feu jusque dans le sanctuaire ! A l’aide de notre frère qu’on assassine, à l’aide de nos enfants qu’on égorge, à l’aide de notre bon père qu’on poignarde !  Seigneur, levez-vous ! Pourquoi semblez-Vous dormir ? » (5, 28 et 30).

Cette prophétie, écrite au début du XVIIIe siècle, est étonnante d’actualité. On y trouve : 1) le libéralisme, dans la divine loi transgressée ; 2) l’apostasie, dans l’Evangile abandonné ; 3) l’impudicité s’étalant dans les rues et se déversant dans les torrents d’iniquité qui inondent toute la terre ; 4) les défections et scandales des âmes consacrées, dans les serviteurs de Dieu entraînés par ces torrents d’iniquité ; 5) les catastrophes naturelles, dans la terre désolée ; 6) les gouvernements maçonniques, dans l’impiété qui est sur le trône ; 7) les messes sacrilèges, à travers le sanctuaire profané ; 8) l’homosexualité, lorsqu’il parle de Sodome et Gomorrhe ; 9) l’œcuménisme d’Assise, lorsqu’il dénonce l’abomination dans le lieu saint ; 10) l’insécurité permanente qui se cache derrière le frère qu’on assassine ; 11) l’avortement qui transparaît derrière les enfants qu’on égorge ; 12) l’euthanasie que révèle le bon père qu’on poignarde.

En 2017, à l’occasion de la publication du livre Une pensée par jour, Saint Louis-Marie Grignion de Montfort (Éditions Clovis), le passage qu’on vient de citer était choisi pour la date du 15 avril. Or, deux ans plus tard, à cette même date, Notre-Dame brûlait à Paris : « Au feu, au feu, au feu ! Au feu dans la maison de Dieu, au feu dans les âmes, au feu jusque dans le sanctuaire ! » Prophétique encore !

Après le XVIIIe siècle passons aux XIXe et XXe. Il y a plus de 15 ans, je tentais de faire une petite théologie de notre histoire contemporaine à partir d’affirmations des deux frères Huxley, Julian et Aldous, glanées dans le livre écrit par Epiphanius intitulé Maçonnerie et sectes secrètes paru aux Publications du Courrier de Rome (2000). Dans ce petit travail, je disais que, si le XIXe siècle a été le siècle du Libéralisme et le XXe siècle celui du Communisme, le XXIe siècle sera celui du Mondialisme. Thèse, antithèse, synthèse : c’est la « logique » de la pensée hégelienne.

Je décrivais ensuite le Mondialisme en ces termes : un Libéralisme-communiste ou un Communisme-libéral. C’est-à-dire, une synthèse et une fusion entre le Libéralisme et le Communisme. Plus précisément ? « Un système juridique dans lequel la législation n’autorise et ne favorise que l’erreur et le vice, et interdit et sanctionne la vérité et la vertu.» En définitive, c’est « un esclavage juridique imposant tyranniquement au genre humain le faux et le mal ».

Cette analyse, je ne l’ai pas inventée. Elle a été élaborée par les deux frères Huxley, avant même 1989, année de la chute du mur de Berlin. Sir Julian Huxley (+1975), premier directeur général de l’UNESCO, a rédigé un opuscule dans lequel il affirme : « Le conflit (entre capitalisme et communisme) peut être évité et les contraires réconciliés ; cette antithèse peut-elle être résolue par une synthèse supérieure ? Je crois non seulement que cela peut se produire, mais qu’à travers l’inexorable dialectique de l’évolution cela doit se produire… Je suis convaincu que cette synthèse réalisée à temps pour prévenir un conflit ouvert doit constituer le but dominant de l’UNESCO. » (op. cit. p. 311).

Son frère Aldous (+ 1963) explique, dans la Préface du Meilleur des mondes, que cette nouvelle société trouvera un levier puissant dans le vice : « Au fur et à mesure que la liberté politique et économique diminue, la liberté sexuelle a tendance à s’accroître à titre de compensation. Et le dictateur sera bien avisé d’encourager cette liberté. S’ajoutant au droit de rêver sous l’influence de la drogue, du cinéma, de la radio, elle contribuera à réconcilier avec l’esclavage ceux dont il est le destin. » (op. cit. p. 369) Le destin des masses ? L’esclavage de l’impureté sous l’influence des médias et, même s’il ne le savait pas encore, d’internet.

En 1961, Aldous Huxley fit même allusion à la possibilité de créer « une sorte de camp de concentration mental non douloureux pour des sociétés entières, un lavage de cerveau par des méthodes pharmacologiques. Et ceci – ajouta-t-il énigmatiquement – semble être la solution finale. » (op. cit. pp. 373-374) Selon Julian, ce système politique serait insupportable pour les catholiques : « Certains types d’hommes devraient être exclus : l’asthénique christianisé de type général, fanatique, exagérément zélé, terrorisé par une morale excessivement rigide… de telles personnes devront être exclues de certaines charges, telles que juges des mœurs, magistrats, enseignants, et il n’y aura pas non plus de place pour eux dans l’administration » (op. cit. p. 310). Quelle actualité !

Comment garder la paix dans ces circonstances ? Montfort ne sombre pas dans un pessimisme déprimant et relève notre courage : « Ne craignez point, petit troupeau, quoique naturellement vous ayez tout à appréhender… Mais encore un coup, ne craignez point volontairement, écoutez Jésus-Christ qui vous dit : c’est moi, ne craignez point… C’est moi qui suis votre Bon Pasteur… Je vous délivrerai des pièges qu’on vous tend, des assauts du démon… Je vous cacherai sous mes ailes ; je vous porterai sur mes épaules… Je vous exaucerai dans vos prières ; je vous accompagnerai dans vos souffrances ; je vous délivrerai de tous vos maux ; je vous glorifierai de toute ma gloire que je vous montrerai dans mon royaume à découvert, après que je vous aurai comblés de jours et de bénédictions sur la terre. Ce sont là les promesses admirables que Dieu vous fait par la bouche du prophète, si vous mettez par Marie toute votre confiance en lui !  »

Pour garder la paix aujourd’hui, l’idéal, c’est la mariothérapie : Se consacrer à Marie1 dans le saint esclavage pour résister à l’esclavage mondialiste…

M. l’abbé Guy Castelain

1 Ed. Clovis – Se consacrer à Marie – 33 jours avec saint Louis-Marie Grignion de Montfort – 208 p., 2022

 

 

 

Cultivons la paix et l’optimisme 1

Vous avez certainement rencontré M. Catastrophe… Cet homme modèle, sérieux, voire grave. A la sortie de la messe ou chez des amis, il écoute attentivement ce qu’on dit. Mais à la moindre réflexion encourageante qui passe, il lance : « Je ne suis pas d’accord…C’est évident que la situation s’aggrave, le danger est là, untel a fait une erreur… Je ne sais pas comment nous allons nous en sortir… » Son discours refroidit l’ambiance, à moins qu’il ne la tende si un inconscient ose protester en apportant des éléments positifs. Le messager de mauvaises nouvelles, s’il ne se cabre pas, se recule derrière son œuvre : « Je n’ai fait que des constatations et suppositions, qui vivra verra ! » Il se tait mais le mal est fait : son entourage aura un peu moins de courage, un peu moins de douceur à opposer à la dureté de la vie ce jour-là. L’inquiétude est au cœur, elle grandit, sera probablement colportée, amplifiée, et refera la néfaste besogne.

Au-delà d’être humainement lourd à porter, le pessimisme est moralement mauvais. « Le désespoir contemporain est le fruit de l’humanité athée », pensait Saint-Exupéry. Aux âmes en état de grâce et de bonne volonté, saint Ignace de Loyola enseigne : « C’est le propre du mauvais esprit de leur causer de la tristesse, des tourments de conscience, d’élever devant elles des obstacles, de les troubler par des raisonnements faux, afin d’arrêter leurs progrès dans le chemin de la vertu. Au contraire, c’est le propre du bon esprit de leur donner du courage et des forces, de les consoler… et de les établir dans le calme2. »

Bien sûr, la croix fait partie de notre vie – rien ne se fait sans travail et sans effort – mais il nous faut chasser les tentations de tristesse, d’inquiétude et de trouble face aux difficultés, pour trouver la paix et la joie de Dieu, ouvrir les cœurs à l’amour et à l’Espérance, et fortifier les volontés pour accomplir le Bien. Le père de famille joue un rôle essentiel pour le bien de sa famille et l’équilibre de ses enfants en montrant l’exemple sur ce point.

Bienheureux les artisans de paix !

Commençons donc par accepter calmement les frictions avec les autres ou à apaiser les relations entre époux, entre enfants, en famille élargie, avec les collègues ou les voisins… « Mettre l’union dans les cœurs, c’est travailler avec Jésus ; mettre la discorde, c’est travailler avec le démon. Si donc l’occasion se présente de contribuer à rétablir ou à consolider la paix, n’y manquons jamais. D’un mot, on peut pacifier un cœur meurtri, d’un mot aussi, on peut lui donner plus d’aigreur. Si même il faut, pour le bien de la paix, faire une concession, un premier pas, un geste amical, s’il faut oublier une offense, un mauvais procédé, quelques fois briser son cœur, n’hésitons pas. Souvenons-nous que bienheureux sont les pacifiques. Jésus leur promet, en récompense de leur collaboration à son œuvre de paix, qu’ils seront fils de Dieu3. »

Si vos enfants vous voient rester en paix, chercher la paix malgré les désaccords même légitimes, malgré les soucis de la vie, ils comprendront  quelque chose de la miséricorde de Dieu et de son amour.

Si la tentation ne vient pas de nos relations humaines, elle peut venir par notre regard sur notre environnement. Est-il source de trouble et de fébrilité, ou de paix et de confiance ?

L’optimisme est-il encore possible ?

« L’optimisme est-il possible de nos jours alors que nous sommes tous accablés par le malheur, la cruelle humiliation nationale,… alors que sur le plan personnel, chacun voit chanceler le résultat du patient effort de sa vie, que le présent est dur et l’avenir imprévisible ? » se demandait Marie Pignal en 1941, comme nous pouvons nous le demander aujourd’hui. Oui, répondait-elle, l’optimisme est une vertu à travailler !

« L’optimisme est mieux qu’une disposition de tempérament, plus estimable qu’un besoin égoïste de se rassurer, plus valable qu’un désir de voir les choses s’arranger. C’est une disposition à saisir les choses de la vie dans leur profondeur, c’est-à-dire en liaison avec le sens surnaturel que Dieu, qui est tout bonheur, amour, beauté a donné au monde4. »

Pour être concrets dans ce travail, plusieurs axes s’offrent à nous. Commencer par prendre de la hauteur en relisant l’Histoire. Le Bon Dieu a utilisé les crises qu’ont traversées nos ancêtres : les débâcles politiques et religieuses avant la conversion de Clovis ; la disparition programmée de la France avant l’arrivée de Jeanne d’Arc ; le protestantisme avant la réforme du Concile de Trente…

Continuer en prenant du recul sur les bons évènements, petits ou grands, des années ou des jours passés, en observant les progrès ici ou là, dans nos enfants ou notre entourage : écoles, paroisse, projets, amis, ambiance de travail. Avec nos enfants, chanter « même le plus noir nuage a toujours sa frange d’or ! » Prendre conseil d’amis au tempérament plus positif que le nôtre sera utile pour éduquer notre regard !

Enfin, « ne traçons pas de limite aux forces qui nous dépassent. Ployons sous l’orage au lieu de reculer de quelques pas pour mieux nous dresser. Soyons plus souples devant la vie. Ne nous enfermons pas dans l’impasse de notre impuissante volonté ; restons sur le grand chemin où circule la volonté de Dieu pour recueillir les dons qu’elle nous apporte. Au lieu de porter un ultimatum aux évènements, laissons passer les desseins de Dieu et faisons Lui confiance. (…) Grâce à l’optimisme, nous garderons la lucidité du regard, la force de la volonté, le pouvoir d’action5. »

« Mais qui donc peut vous nuire si vous vous montrez zélés pour le Bien6 ? »

Le Bon Dieu attend notre confiance, nos enfants aussi !

 

Hervé Lepère

 

1 Dans cet article, nous comprendrons le mot « optimisme » comme un synonyme du mot « espérance naturellement et surnaturellement réaliste ».

2 2e règle du discernement des esprits

3 Père Mortier, op, L’Evangile

4 Le livre de la Confiance, Marie Pignal, 194

5 Idem

6 Epître de saint Pierre, au 5° dim. après la Pentecôte