Maladies de l’intestin ou colopathies

Les oligo-éléments (suite)

Sous le terme de colopathies, on regroupe des maladies de l’appareil digestif qui concernent l’intestin. Il s’agit de pathologies fréquentes, touchant aussi bien les adultes que les enfants, associées parfois à des causes organiques (infections ou tumeurs) mais aussi à des causes psychologiques, émotionnelles.

 

Tout d’abord la symptomatologie abdominale se traduit par :

– Des douleurs abdominales, soit diffuses sur tout le cadre intestinal, soit localisées en un point précis ;

– Des ballonnements ;

– Des troubles du transit à type de constipation, de diarrhée ou d’alternance des deux ;

– Elle est parfois accompagnée de troubles psychiques à type d’anxiété, de stress, de peurs, etc.

 

Il existe différents types de colopathies :

1°) des formes symptomatiques habituelles :

– Colopathies douloureuses spasmodiques,

– Colopathies avec constipation,

– Colopathies avec diarrhée,

– Colopathies avec insuffisance pancréatique.

2°) des formes selon la topographie : côté droit ou gauche.

3°) des colopathies compliquées, soit d’inflammations, soit après antibiothérapie, soit liées à l’abus de laxatifs.

 

TRAITEMENT GENERAL :

Les oligo-éléments prépondérants sont :

1°) le Manganèse-Cobalt : c’est le complexe de base dans toutes les colopathies.

2°) le Manganèse-Cuivre : il est indiqué dans les colopathies à prédominance gauche et dans les colites infectieuses.

3°) le Magnésium

4°) le Phosphore

5°) le Lithium

TRAITEMENT PARTICULIER :

1°) Colites spasmodiques : (maux de ventre avec des crampes abdominales) :

Manganèse-Cobalt : 1 prise par jour

Magnésium :  1 prise par jour

Phosphore : 1 prise par jour

Si besoin, Lithium en cas de troubles anxieux associés.

 

2°) Colites avec importants ballonnements :

Manganèse-Cobalt : 1 prise par jour

Cobalt : 1 prise par jour

Magnésium en alternance avec Phosphore : un jour sur deux

 

3°) Colopathies avec constipation :

– Manganèse-Cobalt. : 1 prise par jour

– Magnésium 1 jour sur 2 en alternance avec Phosphore 1 jour sur 2

– Cobalt : 1 prise par jour

 

4°) Colopathies avec diarrhée chronique :

Même schéma que précédemment mais en ajoutant Manganèse-Cuivre. (1 jour sur 2) ainsi que Manganèse-Cobalt (1 jour sur 2).

 

5°) Colopathies à prédominance gauche :

– Manganèse-Cobalt : 1 prise tous les deux jours en alternance avec

– Manganèse-Cuivre : 1 prise tous les deux jours.

– Lithium : une prise par jour.                     

 6°) Colopathies droites :

– Manganèse-Cobalt : 1 prise par jour

– Magnésium. :  1 prise par jour

– Soufre : 1 prise par jour

 

7°) Colopathies infectieuses :

– Manganèse-Cobalt : 1 jour sur deux en alternant avec

– Manganèse-Cuivre : 1 jour sur deux

– Soufre : 1 prise par jour

– Cuivre-Or-Argent : 1 prise par jour

 

8°) Colopathies avec insuffisance pancréatique :

– Manganèse-Cobalt : 1 prise par jour

– Nickel-Cobalt ou Zinc-Nickel-Cobalt : 1 prise par jour

– Magnésium : 1 prise par jour

– Si besoin, lithium.

 

Ces traitements proposés peuvent soulager de nombreuses douleurs abdominales, en particulier celles d’origine psychogène ; il ne faut pas hésiter à consulter votre médecin traitant en cas de persistance de la symptomatologie pour éliminer une cause organique, infectieuse ou tumorale.

 

Dr Rémy

 

Actualités culturelles

  • Frévent (France, Pas-de-Calais)

C’est au mois de mai dernier qu’un passionné de céramique, en visite au château de Cercamp, croit reconnaître parmi les œuvres exposées une pièce appartenant au Musée Sandelin de Saint-Omer, situé à une soixantaine de kilomètres de là. Il s’empresse alors de contacter le conservateur du musée qui se rend sur place au plus vite : à sa grande surprise, ce n’est pas une seule mais 83 œuvres d’art qu’il reconnaît comme faisant partie des collections muséales ! Un inventaire réalisé seulement quelques semaines plus tôt avait en effet souligné l’absence d’environ 280 pièces, probablement disparues entre 2009 et 2013 : ces pièces se trouvaient dans les réserves du musée ainsi que dans quelques églises des environs. Quelle surprise d’en retrouver plus d’un quart dans une propriété si proche de Saint-Omer et, qui plus est, exposé au public ! Les propriétaires du château de Cercamp, quant à eux, prétendent ignorer cette histoire de vol et avoir acheté leurs œuvres dans des brocantes. Une affaire mystérieuse qui mérite d’être suivie de près…

 

  • Paris (France)

Eternel sujet de débats, La Joconde achevée par Léonard de Vinci en 1519 fait encore parler d’elle. En effet, la géologue Ann Pizzorusso affirme avoir enfin identifié le paysage de l’arrière-plan : pour elle, il s’agit sans conteste de la petite ville de Lecco, située sur les rives du lac de Côme en Lombardie (Italie du nord). Cette déclaration repose essentiellement sur l’analyse des paysages montagneux de couleur gris-blanc qui ressemblent étrangement aux roches calcaires de la petite ville lombarde (sans compter bien sûr la présence du pont et du lac). Une théorie qui ne manque pas de cohérence si l’on se souvient que Léonard de Vinci a sillonné la région, comme l’indiquent les notes de ses carnets.

 

  • Pompéi (Italie)

Ensevelie sous les cendres du Vésuve en 79 après J.C., la ville de Pompéi n’a toujours pas fini de nous surprendre : sur les 22 hectares qu’elle recouvre, seuls les deux tiers ont été fouillés par les archéologues. Suite à une campagne de fouilles lancée en 2023, les spécialistes ont découvert une spectaculaire salle de banquet longue de 15 mètres et large de 6 mètres, entièrement décorée de fresques. Située dans une maison particulière, cette pièce témoigne du luxe dans lequel vivaient les habitants du lieu au début de notre ère. Caractéristiques du « troisième style » pompéien également appelé « style ornemental », les fresques représentent des personnages de la Guerre de Troie parmi lesquels Pâris, Hélène, Apollon ou encore Cassandre, tels qu’on les retrouve dans L’Iliade d’Homère ; les figures se détachent sur un fond noir qui permettait de ne pas voir les traces laissées par les lampes à huile allumées lors des banquets. Visibles par le public depuis le 11 avril dernier, ces œuvres réalisées entre 15 avant J.C. et 40-50 après J.C., sont en parfait état.

 

  • Vannes (France, Morbihan)

Avant de lancer l’installation du futur musée des Beaux-Arts de Vannes dans l’hôtel Lagorce, une vaste campagne de fouilles a été entreprise dans la cour et la cave de l’hôtel particulier. C’est ainsi que les archéologues ont pu faire ressurgir les ruines de l’ancien château de l’Hermine, construit par le duc Jean IV de Bretagne à partir de 1380. Alors qu’ils pensaient que la quasi-totalité des vestiges avaient disparu, les chercheurs ont eu la surprise de déblayer l’ensemble des fondations du monument sur une hauteur d’un mètre de haut ; à présent, il est donc possible de reconstituer les plans du rez-de-chaussée du logis ducal, qui présente la forme d’un « logis-porche ». La hauteur de l’élévation permet de discerner de nombreux décors sculptés ainsi qu’un bandeau mouluré qui s’étend sur l’ensemble de la façade. Disposition des pièces, douves, escalier d’apparat, fenêtre à coussiège, tour carrée ou encore emplacement d’un moulin intégré et du pont reliant la ville à l’entrée du château, plus rien n’a de secret pour les archéologues. Résidence favorite de Jean IV, le château de Vannes est délaissé par le duc François II au profit de celui de Nantes dans les années 1470, avant d’être définitivement abandonné aux XVIIe-XVIIIe siècles. Il est ensuite détruit et le château actuel (hôtel Lagorce) est construit sur ses vestiges à partir de 1784.

 

L’éducation de la jeune fille

La personne tout indiquée pour remplir cette délicate mission est la mère. Dans une famille chrétiennement constituée, la mère jouit auprès de ses enfants d’une espèce « d’infaillibilité » qui lui donne l’avantage d’être crue sans discussion, avec confiance. Si la Providence a confié aux mères une telle influence, c’est pour qu’elles s’en servent comme d’un stimulant puissant au Bien. Négliger d’user de ce pouvoir d’enseignement serait une faute inexcusable.

La mère a ensuite la « compétence », étant passée par toutes les phases que traverse l’âme de ses filles. Elle a éprouvé les mêmes craintes devant les mystères du changement de son corps ; elle s’attachera à procurer à ses filles le calme et la sécurité dont elle a peut-être eu le bonheur de profiter de sa mère, dans sa jeunesse. Si, au contraire, elle n’a pas reçu les éclaircissements utiles de sa mère, dont la bouche était probablement close par une pruderie exagérée, elle se rappellera ses anxiétés, ses hésitations, les périls courus, et elle se préoccupera de les éviter à ses enfants.

Elle obtiendra ce résultat avec facilité. Car à l’autorité et la compétence, la mère joint la « délicatesse ». Seuls les cœurs de mère savent révéler à des cœurs de jeunes filles les grandes vérités concernant les aspirations et les obligations de leur sexe. Une fille n’a habituellement pas de secret pour sa mère : tous les détails de santé qui accompagnent la profonde transformation corporelle de l’enfant en jeune fille, sont suivis par elle avec un intérêt discret et constant ; aucune des impressions de cette âme qui, sortant de sa chrysalide, voit pousser ses ailes de papillon, n’est ignorée de cette confidente providentielle, éminemment capable de les pénétrer et analyser. La mère intelligente et désireuse du bien aura, dans chaque circonstance, le mot voulu, la réponse précise, le conseil approprié au besoin présent. Elle ne dira rien de trop, rien de pas assez, mais ce qu’il faut.

Toute mère devrait comprendre ce rôle important qui lui incombe et s’en acquitter avec scrupule. La jeune fille elle-même recherchera ce cœur à cœur auprès de sa mère. Là, pas de contrainte, ni de réserve ; là, aucun péril d’une touche trop rude.

 

Créée pour être mère

Plus d’une mère, très désireuse du bien de ses enfants, déclare impossible d’aborder avec ses filles de pareils sujets. Certaines compulsent des livres sur ces graves questions et se déclarent découragées. Elles sont effrayées parce qu’elles s’imaginent qu’il faut tout dire en bloc et d’un seul coup. Elles reculent devant ce travail. Si le jeune homme, d’un tempérament positif et moins sentimental, peut être, à l’heure voulue, instruit en une seule fois des choses essentielles à la pureté, l’âme et l’imagination plus sensibles de la jeune fille, au contraire, réclament de bien plus grands ménagements. Aussi ne conseillera-t-on jamais assez aux mères de famille de procéder par degré. On réclame d’elles « patience, persévérance et savoir-faire. »

L’idée qui servira de pivot à toute l’éducation morale de la jeune fille sera qu’elle est créée pour être mère.

La maman aura su profiter depuis longtemps de toutes les circonstances pour favoriser l’instinct de maternité, encourageant sa petite fille à « jouer à la maman » avec ses poupées, dirigeant avec sérieux la toilette ou le coucher du « bébé » : « Il faut prendre bien doucement votre bébé, Madame, il est petit et fragile !… N’oubliez pas la prière avant de le coucher… Pauvre bébé tout déshabillé, ce n’est pas une bonne habitude de le laisser tout nu, vite il faut l’habiller ! » Ainsi encouragé, l’instinct maternel grandit peu à peu.

Vers douze ou treize ans, quand viendra l’heure, la mère entreprendra de faire suivre très naturellement à l’esprit de la petite jeune fille un développement parallèle à celui qui s’opère dans son corps. La mère ne doit pas craindre, vers l’époque où elle voit sa fille prendre des allures de femme, de lui parler ouvertement de cette grande chose qu’est la « maternité ». La Providence fournira un prétexte tout simple aux conversations révélatrices. La mère, à propos d’une question ou d’une réflexion de son enfant, prendra le temps de lui expliquer la raison des phénomènes surprenants et mystérieux qui, bientôt, troubleront périodiquement son organisme. Voici venue l’heure d’expliquer à la jeune fille quel rappel perpétuel elle porte en elle-même de sa destination à la maternité.

L’explication de la Salutation Angélique sera éloquente pour la jeune fille, parce qu’elle est essentiellement l’hommage de la Maternité. Notre Seigneur Jésus, venant en ce monde, a voulu se choisir une mère ; il a été formé dans le sein de Marie, miraculeusement fécondée par l’Esprit-Saint ; il y a résidé le temps assigné par la Providence… Admirable et divin mystère devant lequel la jeune fille s’émerveille. Quoi de plus facile à la mère de tirer de là les conclusions évidentes :  les enfants viennent de leur mère, comme le fruit sort de la fleur… Ils sont portés et nourris par elle durant de longs mois avant la naissance… Le miracle de l’opération du Saint Esprit dans le sein de la mère de l’Enfant Dieu ne s’est jamais renouvelé pour aucune autre femme, mais Dieu pourvoit à la fécondité des mères d’une façon merveilleuse quoique parfaitement naturelle par l’intervention de l’époux dans la pratique du saint mariage. Pourvu qu’elle ne soit pas brusquée, l’âme féminine, faite pour la maternité, en accueille les secrets avec enthousiasme.

La première grande pensée qu’il faut développer devant la future épouse est que le but principal de la femme ici-bas, c’est d’être mère ; elle est créée et mise au monde en vue de procurer la survivance du genre humain, et conduire ses enfants au Ciel. Aujourd’hui, sous couvert de féminisme, on cherche à arracher la femme à son véritable rôle en assignant d’autres directions à sa vie. L’enfant devient une femme, elle change d’allure et d’apparence…Pourquoi ? Il est facile de convaincre la jeune fille que cette métamorphose s’opère uniquement en vue de la maternité.

La vertu de pureté

À mesure que devant les yeux de la jeune fille se précisera davantage la vision de son rôle maternel, en même temps grandira dans son cœur le culte de la chasteté. Maintenant qu’elle sait apprécier la valeur de son corps et de son âme, tout naturellement elle craint pour un trésor si précieux, et cherche à le conserver intact. Dieu veut que les petits enfants naissent dans le mariage légitime, dès le jour béni où les deux jeunes époux scellent leur union devant Lui. La vertu de pureté entoure de charmes la future épouse en lui apprenant à garder précieusement le jardin intérieur de son âme durant les longues années de sa vie de jeune fille.

Si cette vertu est la parure des fiancées, que dire de l’éclat qu’elle procure aux jeunes filles, qui, renonçant aux espoirs temporels, ont résolu de sacrifier à Dieu ce que la femme a de plus précieux, son désir même de la maternité ? Alors chez celles-là, la chasteté brille d’une gloire encore plus étincelante, empruntée à celle de Marie belle comme la lune, brillante comme le soleil.

Ainsi avertie de ces grandes vérités, convaincue des graves obligations qui en découlent et aussi des soutiens que Dieu lui donne pour les remplir, la jeune fille marchera confiante sur ce sentier de la vie, si enténébré pour tant d’autres, si brillamment éclairé pour elle. Qu’elle travaille avec ardeur à cultiver et à défendre cet intérieur, qu’elle tâchera d’orner de toutes les vertus, afin de répondre aux désirs et à l’attente de celui qui, un jour, viendra en partager les charmes.

 

Sophie de Lédinghen

 

Inspiré de : « Futures épouses », Abbé Charles Grimaud.

 

Être mère

Être mère est une mission magnifique, très haute : celle d’élever les âmes de nos enfants pour les conduire à Dieu. C’est-à-dire y déposer les germes de l’adulte qui saura se conduire, avec la grâce, en sûreté vers l’Eternité.

Être mère, c’est prier pour les enfants que Dieu te donnera, puis pendant leur attente et enfin tous les jours de ta vie. Avoir conscience que malgré tes faiblesses, Dieu pourvoira par ta prière à tes imperfections.

Être mère, c’est prendre exemple sur Notre-Dame, la Mère par excellence, et imiter sa pureté, son humilité, son effacement, son devoir d’état accompli discrètement et simplement. C’est avoir, comme elle, une vie intérieure pour insuffler le plus haut.

Être mère, c’est donner et se donner sans cesse, se renoncer par amour et donc avoir cette discipline de vie qui domine ses caprices et fait acte de volonté. C’est penser toujours que nos enfants nous voient et nous imitent, aussi notre exemple doit-il être le meilleur possible. C’est continuer à former son âme et son esprit pour anticiper et guider sans faille, sachant se garder des erreurs et des modes de notre époque.

C’est avoir du bon sens et une vie équilibrée, cohérente avec ta foi, puisque tu seras le premier catéchisme vivant de tes enfants.

Être mère, c’est donner toute ta tendresse avec ton cœur qui se penche sur la faiblesse de l’enfant, qui le devine et l’aide à se dépasser, par amour. C’est savoir laisser à ton époux sa place de père, pleinement, sans lui demander de trop faire à ta place, afin que le rôle de chacun soit selon l’ordre naturel voulu par Dieu.

Être mère, c’est savoir créer un climat de joie et de confiance pour que la maison soit heureuse. C’est savoir prendre le temps d’un jeu avec les petits, de confidence ou d’activité avec les plus grands, et pour cela se rendre disponible.

Être mère, c’est accompagner ton enfant dans les étapes de sa vie de baptisé, et au fur et à mesure qu’il grandit, t’effacer sachant qu’il doit partir dans la vie. C’est savoir réfléchir sur toi-même avec lucidité et rectifier ce qui doit l’être. Savoir écouter ceux qui te précèdent et leur expérience. C’est ne pas vouloir te projeter dans ton enfant et le laisser libre. Accepter sa vocation et savoir l’éclairer si besoin dans ses choix.

Être mère, c’est parfois être crucifiée avec Notre-Seigneur, voyant son enfant souffrir ou souffrant à cause de lui, et ne jamais cesser de le ré-enfanter entre les mains du Père. C’est laisser le Saint-Esprit agir et offrir sa peine en réparation, en offrande, pour l’âme de ton enfant ou pour les âmes qui en ont tant besoin.

Être mère, c’est accepter généreusement d’avoir les enfants que Dieu donne, peu ou beaucoup, et le don total par le rappel à Lui de ceux qu’il a choisis pour nous précéder dans le Royaume.

Être mère, c’est l’être avec la grâce de Dieu, jusqu’à la fin…

 

     Jeanne de Thuringe 

 

Gougères

 

Ingrédients pour 8 personnes :

– 150 g de beurre

– 50 cl d’eau

– 300 g de farine

– 8 œufs

-150 g de gruyère râpé

– sel, poivre, muscade (facultatif)

 

Préparation :

– Préchauffez le four à 200°C. Faites fondre le beurre à feu doux dans une casserole. Ajoutez l’eau et portez à ébullition.

– Retirez du feu et versez la farine d’un seul coup en remuant vivement avec une spatule en bois. Remettez sur le feu et mélangez la pâte jusqu’à ce qu’elle se détache de la casserole. Enlevez du feu ; une fois tiède, ajoutez les œufs, le fromage et mélangez bien. Disposez des boules de pâte sur une plaque beurrée.

– Enfournez environ 25 min à four chaud (200°C). Servez chaud, tiède ou même froid (selon les goûts).

 

Conseils et astuces :

– Délicieux servi accompagné d’une salade verte ou composée

– Vous pouvez ajouter des dés de jambon, des olives dans la pâte ou bien mettre du chèvre à la place du gruyère…