Les infections hivernales

La saison d’hiver apporte chez tous son lot de désagréments : qui ne connaît de rhume, de  pharyngite, de bronchite ou de grippe pour ne citer que les plus courantes de ces affections saisonnières ?

            Les enfants sont particulièrement touchés mais aussi les personnes âgées ; les adultes, plus résistants peuvent y échapper à condition de ne pas traîner avec soi de fatigue chronique. Les mères de famille nombreuse ont l’habitude de traiter au domicile ces ennuis de l’hiver : inhalations, frictions, homéopathie, phytothérapie ou Paracétamol tout simplement ; mais il existe des situations où il est nécessaire de consulter son généraliste et d’utiliser l’allopathie avec son arsenal d’antibiotiques et anti-inflammatoires. Continuer la lecture de « Les infections hivernales »

Comment faire un bon Carême en famille

Avec le Carême, nous entrons dans le temps de la Rédemption. Jésus est venu nous sauver. Son œuvre de Rédemption commence par la prédication de la vérité qui va nous éclairer ; or Ses toutes premières paroles sont un appel à la conversion : « Les temps sont accomplis, le royaume de Dieu est proche : convertissez-vous et croyez à l’évangile »(Mc 1,15)
Se convertir, se repentir, faire pénitence….quelle exigence ! Notre-Seigneur n’y va pas « par quatre chemins », Il va droit au but…et insiste même : « Si vous ne faites pas pénitence, vous périrez tous… » (Luc 13,3)
Par le péché originel, notre nature a été blessée, défigurée ; et cette blessure se traduit par une inclination au mal. Cette inclination nous appelle sans cesse au combat spirituel ! Depuis le péché originel notre âme est restée affaiblie dans sa volonté, c’est pourquoi elle doit maintenant continuellement faire effort pour résister au mal et faire le bien.
Ce temps liturgique nous montre maintenant Jésus au désert, pour 40 jours de prière et de pénitence avant de commencer sa vie publique de prédication.
Nous Le voyons aussi aux prises avec Satan, venu Le tenter…Nous comprenons alors pourquoi l’Eglise a fait du Carême un temps plus particulièrement consacré au combat spirituel…
Nos armes ne sont ni charnelles, ni matérielles, elles sont spirituelles !
Pour faire un bon Carême en famille, 3 moyens nous sont indiqués par l’Eglise : prière, pénitence, générosité. Continuer la lecture de « Comment faire un bon Carême en famille »

ET SI NOUS ORGANISIONS UN CONCOURS DE DESSIN ?

  « Sachons nous détendre pour éviter le surmenage, mais dans le choix de nos détentes, évitons énergiquement ce qui s’oppose à notre qualité d’enfants de Dieu » Abbé P. Troadec

Peu importe le lieu : à l’intérieur, sur la table de la salle à manger, ou dehors assis au milieu de la pelouse ; devant la maison, ou en face d’un paysage que l’on aime. Tous les membres de la famille se munissent d’une feuille blanche, d’un crayon et d’une gomme. C’est d’autant plus amusant que tout le monde participe (y compris Papa et Maman, ainsi que le petit dernier), et joue le jeu ! Nous avons 10 minutes pour copier avec le plus d’exactitude possible l’objet désigné.
La première fois, Continuer la lecture de « ET SI NOUS ORGANISIONS UN CONCOURS DE DESSIN ? »

Le sommeil de nos enfants

Saviez-vous que nous passons le tiers de notre vie à dormir? Soit une durée de 25 ans pour une vie de 75 ans !

Il s’agit d’une activité déterminante pour la croissance, la maturation cérébrale et le développement des capacités cognitives de nos enfants. En d’autres mots, le sommeil leur permet de reprendre des forces physiques mais aussi intellectuelles.

Durant le sommeil, les hormones de croissance entrent en fonction et permettent à l’enfant de grandir. Par ailleurs, la mémoire se développe aussi durant cette période et toutes les informations reçues durant la journée s’organisent.

Les parents devraient donc considérer le sommeil comme un élément d’éducation et de prévention au même titre que l’alimentation et la stimulation de leurs compétences.

 Que se passe-t-il lorsque l’on dort ? Continuer la lecture de « Le sommeil de nos enfants »

Poli? Pourquoi?

– Mais, dîtes-moi : à quoi cela sert-il d’être poli ?

Tout d’abord, cela sert à rendre la vie en société plus légère, à arrondir les angles, à adoucir les frottements, à harmoniser les caractères… L’entourage se bonifie au contact d’une certaine aménité, d’une douceur de mœurs qui entraîne la bienveillance. Mais le bienfait est bien supérieur pour celui qui s’efforce à la politesse : il met en pratique les vertus de patience, de tempérance, la générosité, l’affabilité, la discrétion, qui l’aident à lutter contre l’égoïsme et les passions, en se gênant pour les autres. C’est de cette façon qu’il acquiert cette délicatesse qui est la fine fleur de la charité chrétienne, héritée des moines du Haut Moyen-Age qui civilisèrent la France barbare, et de ce « savoir-vivre » à la française, transmis à travers les siècles, pâle reflet du sourire du Ciel.