J’entends une chanson (les petits chanteurs à la croix de bois)

 

Ainsi que vous l’entendrez dans cet extrait, l’accompagnement rythmé de tambourins peut être un excellent exercice à proposer aux enfants.

J’entends une chanson qui me réveille,

Est-ce un oiseau lointain ?

Je vois dans le carreau qui s’ensoleille

Les reflets du printemps.

Dans mes yeux qui sommeillent,

Les rêves de la nuit sont incertains.

Quelle est cette chanson qui me réveille,

Est-ce un oiseau lointain ?

 

Est-ce un pinson qui chante dans la treille

La gloire du raisin ?

Est-ce un pâtre égaré qui s’émerveille,

Retrouvant son chemin ?

Si doux à mon oreille,

L’amour ne serait-il ce musicien ?

Quel est celui que l’amour ne réveille

De son flûtiau divin ?

 

La conquête du pouvoir, itinéraire d’un pape sous influence par Jean-Pierre Moreau, éditions Contretemps 2022

Dire que le pape François intrigue relève du truisme mais la question qui vient vite à l’esprit, lorsque l’on essaye de comprendre le sens de l’actuel pontificat consiste à se demander si les actions entreprises suivent un plan déterminé pour adapter l’Eglise à la modernité ou bien sont l’illustration d’un certain empirisme sans projet préconçu. Que peut-il y avoir de commun entre le document d’Abou Dhabi sur la fraternité humaine (Dieu a voulu la diversité des religions), Amoris Laetitia et la quasi-reconnaissance des divorcés remariés, le synode sur l’Amazonie, les restrictions apportées à la célébration des sacrements selon le rite tridentin, l’écologie érigée en valeur suprême sans parler du synode à venir sur la synodalité dont la finalité est pour le moins à ce stade encore difficile à cerner ?

Si le début de recul que donnent les dix années écoulées de l’actuel pontificat fait pencher la balance en faveur du premier terme de l’alternative, encore faut-il préciser de quel plan il s’agit. Pour Jean-Pierre Moreau, journaliste, spécialiste de l’Amérique latine, la réponse est claire : le pape François met en œuvre la théologie du peuple, concept dérivé de la théologie de la libération, en s’inspirant de personnalités telles que dom Helder Camara, archevêque de Recife au Brésil dont le procès de béatification a été ouvert en 2015, de Juan Domingo Peron, président à deux reprises dans l’immédiat après guerre et dans les années 1970, et du réformateur très progressiste et fortement influencé par le marxisme, de la Compagnie de Jésus, le père Pedro Arrupe, préposé général de l’ordre des Jésuites de 1965 à 1983 dont il est issu. En quelque sorte, l’Amérique latine a été un laboratoire où ont été préparées les réformes de l’Eglise de ce début du XXIème siècle. De ce livre très intéressant à lire et faisant preuve d’une profonde érudition, nous essaierons de tirer quelques idées-force.

La théologie du peuple, qui est la marque de fabrique de l’actuel pontificat, est une variante de la théologie de la libération qui aura été expurgée de ses aspects les plus évidemment marxistes. Elle met au centre le peuple de Dieu, et surtout le peuple des pauvres, qui remplace la classe opprimée des communistes et qui est promu au rang de lieu théologique, c’est-à-dire de source éminente de connaissance de Dieu et de sa parole. Le lien peut facilement être établi entre cette théologie du peuple et le modernisme condamné par Saint Pie X au début du XXème siècle. La théologie classique est déductive dans la mesure où elle part de la révélation divine contenue dans les textes sacrés pour en tirer toutes les applications logiques et concrètes au niveau de la réalité. A contrario, la théologie du peuple suit une démarche inductive qui l’amène à construire une pensée religieuse en partant du réel et de la pratique sociale. Une telle démarche introduit inévitablement un élément de relativité dans le discours théologique et moral. Ce n’est plus l’Eglise qui est dépositaire de l’enseignement reçu des apôtres, c’est l’histoire vécue par le peuple qui reçoit, à la lumière de l’esprit, un sens religieux adapté aux circonstances. Nous nageons ici en plein modernisme. A la lutte des classes de la théologie de la libération, la théologie du peuple substitue un avenir eschatologique : le Royaume de Dieu vécu par les pauvres par anticipation. Ce courant de pensée s’inspire du concile Vatican II prolongé à la conférence du Conseil des épiscopats d’Amérique latine, tenue à Medellin en 1968, en présence du pape Paul VI, où l’Eglise peuple de Dieu a supplanté l’Eglise hiérarchique. 

Dans sa première exhortation apostolique Evangelii Gaudium de 2013, le pape François énonce les quatre principes qui vont sous-tendre ses discours et documents. Ces principes sont présentés à tort comme étant ceux de la doctrine sociale de l’Eglise alors qu’ils sont issus du péronisme. Ces quatre principes sont : (1) le temps est supérieur à l’espace, (2) l’unité prévaut sur le conflit, (3) la réalité est plus importante que l’idée, (4) le tout est supérieur à la partie. Ces principes n’ont que peu à voir avec ceux de la doctrine sociale de l’Eglise qui reposent sur (a) la dignité de la présence de la personne humaine, (b) les principes du bien commun, (c) de subsidiarité, et (d) de solidarité.

Les applications des principes du pape François sont nombreuses. Dans Amoris Laetitia, le pape évoque le premier de ces principes : en rappelant que le temps est supérieur à l’espace, je voudrais rappeler que tous les débats doctrinaux, moraux ou pas, ne doivent pas être tranchés par des interventions magistérielles. Bien entendu, dans l’Eglise, une unité de pensée et de doctrine et de praxis est nécessaire mais cela n’empêche pas que subsistent différentes interprétations de certains aspects de la doctrine ou de certaines conclusions qui en dérivent. Sur l’œcuménisme, c’est le tout supérieur à la partie qui remet en cause l’identification faite par Pie XII dans Mystici Corporis de l’Eglise catholique au Corps mystique du Christ. Il en est de même pour l’immigration avec les litanies de ND de Lorette complétées en 2020 pour invoquer Marie en tant que Réconfort des migrants et le synode sur l’Amazonie où la bénédiction de la divinité païenne, la Pachamama, dans les jardins du Vatican, masque l’effondrement du catholicisme dans cette région du monde ; l’Amazonie a été présentée comme un lieu théologique où s’élabore la nouvelle foi. Pendant ce synode, il est intéressant de noter l’intervention du cardinal Hummes, symboliquement revêtu, comme d’une relique, de l’étole de dom Helder Camara, qui en soulignait la filiation conciliaire en citant expressément le supérieur de la Fraternité Saint-Pie X qui avait ironisé contre ceux qui critiquaient ce synode : « vous ne pouvez pas être contre ce synode puisque ce synode est le fruit légitime de Vatican II ». Ce à quoi le cardinal Hummes a répondu « quant à nous, nous devons rendre grâces à Dieu pour ce beau fruit de Vatican II. »

Pour quel avenir ? Une interview de Leonardo Boff, ancien franciscain maintenant défroqué, donnée en mars 2015 au journal argentin Clarin donne un élément de réponse : « le pape François va créer une dynastie de papes du Tiers monde d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine qui va apporter du sang neuf à la chrétienté européenne quasi moribonde. Cet héritage sera une Eglise non centralisée à Rome mais un immense réseau de communautés du monde entier. Deux modèles s’affrontent : le modèle doctrinal avec les dogmes du droit canonique, c’est ainsi que cela a fonctionné jusqu’à présent, et l’autre, celui du peuple de Dieu qui respecte la faillibilité de l’être humain et qu’un véritable pasteur accompagne. » Le meilleur est à venir.   

 

Thierry de la Rollandière

 

Calvaires de nos campagnes

Petits oratoires au coin des chemins devenus routes, placés là par une main pieuse en souvenir de quelque vœu, ou après une mission locale, pour ranimer la ferveur après la fureur des temps, vous ponctuez nos campagnes, toujours pleins de fraîcheur.

Statuette de la Sainte Vierge à l’abri d’une vieille niche de pierre battue par les vents, tout usée de soleil et de pluie mais qui, de longue mémoire, a toujours été là et reste entretenue malgré tout, avec parfois un soin jaloux…

Notre Dame des champs qui veillait sur les récoltes, et les rudes travaux,

Notre Dame de la mer qui regardait au loin partir et revenir ses fils marins, protégeant parfois mystérieusement les équipages, l’implorant dans la tempête. De retour au port, ceux-ci la saluaient et lui déposaient un ex-voto en reconnaissance.

Notre Dame du Chêne, parce que, sans savoir comment, la statue s’était retrouvée dans un tronc, auprès de laquelle, on venait en procession confier les intentions des cœurs lourds.

Notre Dame des Marais, dans ces étendues plates, un peu désolées où terre et mer fusionnent pour se rejoindre sans que la distinction soit bien nette.

Et tant d’autres vocables pour d’humbles statues.

Simples calvaires de pierre aux si jolies proportions, sculptés dans le matériau local avec un petit air de noblesse afin d’honorer le Sauveur,

Nichés dans un bosquet de verdure, ornés l’été de fleurs sauvages poussant à leur pied, ou au contraire se dressant dans la plaine, comme un témoignage de la route à suivre.

Modestes croix de bois croisées dans les montagnes comme au milieu de nulle part, parfois peintes gaiement, permettant aux bergers lors de l’alpage de prier sur fond de cliquetis des cloches de leurs troupeaux.

Grands calvaires de bois ou de pierre érigés en souvenir d’une mission, dont la date est bien visible pour, après les ravages du protestantisme et de la Révolution, faire revenir les âmes à la vraie foi des aïeux.

Vous êtes si présents dans notre vieux pays de France, restes touchants de la piété des gens simples dont la vie était rude et qui savaient qu’elle n’avait qu’un temps et qu’une valeur, celle qu’ils lui donnaient pour leur éternité.

Que nous sachions toujours vous saluer dignement, en chrétiens, vous défendre au besoin, vous reconstruire avec générosité car vous êtes toute une armée de veilleurs, qui nous rappelez, humbles poteaux indicateurs, la route du Ciel.

                       

                Jeanne de Thuringe

 

Car tu es poussière

A la sueur de ton visage tu mangeras ton pain, jusqu’à ce que tu retournes au sol, car c’est de lui que tu as été pris ; car tu es poussière et tu retourneras à la poussière.

Ces mots, adressés à Adam à l’aube des temps, s’appliquent à tous les hommes. Dieu a créé le monde, la nature, les plantes, les animaux pour deux raisons, émerveiller et nourrir les hommes. Mais la nature, jadis docile, a été rendue capricieuse depuis le premier péché. C’est à force de travail que les hommes peuvent tirer leur subsistance. Ce travail, voulu par Dieu, comme châtiment mais aussi comme occasion de sanctification par l’effort, doit correspondre au plan de Dieu.

Peu à peu, à travers les siècles, l’homme a appris à dompter le sauvage. Il a sélectionné les plantes nourricières, semant d’année en année les grains les plus gros, faisant évoluer les céréales et les fruitiers jusqu’aux variétés généreuses que nous connaissons aujourd’hui. De même, il a apprivoisé l’animal pour mille usages, traction, lait, viande, etc. Par l’expérience, à l’écoute du réel et des lois qui régissent le vivant, à force de travail, les générations qui nous ont précédés nous ont laissé un immense trésor : mille techniques agricoles, mille et mille variétés de plantes et d’animaux. L’homme a appris à dompter la nature, au moins celle qui l’entourait. Puis, en plus de la science des paysans, s’est ajoutée celle des médecins, des géologues, des biologistes, des physiciens, des astronomes, etc. Il est fascinant de voir combien de grands noms dans l’histoire des sciences sont des clercs. Cette science réaliste, ordonnée, a été l’apanage du monde chrétien. Pendant longtemps, l’homme a fait progresser la connaissance, dans le même esprit que celui d’Adam : connaître la nature pour en tirer les ressources nécessaires à la vie prospère de l’homme aujourd’hui et de ses fils demain, la dominer pour prévenir ses caprices, sans la détruire, en préservant l’avenir. La nature, don du Créateur, au service de l’homme, et reine des créatures ici-bas. C’est d’abord cela « l’écologie chrétienne ».

C’est ensuite la contemplation de l’œuvre de Dieu. La nature regorge de tant de merveilles ! Les découvrir, les observer, les connaître, c’est se mettre à l’école du Bon Dieu. Dieu a déversé tant de beauté et apporte tant de soin à des êtres sans âme ! Alors, que ne ferait-Il pas pour nous qui sommes appelés à la béatitude éternelle ?

Malheureusement, « l’écologie chrétienne » a disparu. Elle a été remplacée par deux idées folles, devenues des idoles : Gaïa (ou la Pachamama) d’un côté, Mammon de l’autre. La déesse Terre et le dieu Argent.

Dans un monde sans Dieu, on en vient à adorer l’argile, le bois des forêts ou les eaux gelées, les bébés phoques ou les ours polaires. Une nouvelle religion singe la vraie religion. La planète Terre et sa merveilleuse biosphère sont divinisées. Les hommes doivent ordonner leur vie à son service. La nouvelle religion a son nouveau péché originel : nous avons profané la déesse en polluant et en émettant du CO2. Nous héritons de ce péché quoi que nous fassions. Gaïa s’apprête à se venger en jetant sur les hommes ses ouragans tueurs, ses vagues vengeresses et ses sécheresses apocalyptiques. Le seul salut est que l’homme sacrifie à la déesse, jusque dans les plus petits gestes du quotidien, afin de contenir le climat. Niant le vrai Dieu, la nouvelle religion déifie la matière et y soumet l’homme. Une totale inversion de l’ordre voulu par Dieu. Cela est particulièrement visible dans les mouvements « anti-spécistes » qui mettent l’être humain sur le même pied d’égalité qu’un âne, un moineau, un rat ou encore un cochon. Voire qui considèrent même l’homme en-dessous de l’animal, car l’homme est coupable du péché originel (réchauffement climatique) et de ses péchés personnels (guerres, élevage, alimentation carnée, etc.). Cette fausse religion, comme toutes les autres, détourne les hommes d’abord de Dieu, mais même des choses naturelles et de bon sens. Comment être tout simplement joyeux quand mêmes les enfants sont tourmentés par la peur de l’apocalypse ? La Triste Nouvelle assénée >>> >>> sans relâche par les prêtres de l’écologie tue l’espérance : jamais les suicides et les dépressions n’ont autant touché nos concitoyens.

A côté de Gaïa, nous trouvons Mammon, le dieu argent. En son nom, la domination de la nature perd sa composante « conservatrice » pour ne rechercher que le profit immédiat. Peu importe si on détruit une ressource sans lui laisser la moindre chance de se renouveler : le temps qu’elle s’épuise, le siècle aura vécu. Certes, les générations suivantes devront se débrouiller, en attendant, la génération actuelle peut tout brûler. Ainsi, il faut toujours plus de rendement à l’hectare, quitte à saccager les sols à coups de produits phytosanitaires et de rotations toujours plus agressives. Ainsi, il faut trafiquer le corps humain, vendre tout un tas de produits, sans regarder les conséquences à 10, 20 ou même 30 ans. Ainsi, il faut ouvrir le sous-sol pour en extraire dans ses plaies béantes toujours plus de minerais et de pétrole, quitte à relâcher les déchets et la pollution dans les rivières et les mers, sans se soucier des conséquences. L’adepte de Mammon est le grand pollueur et le grand apprenti sorcier ; c’est le transhumaniste qui veut jouer au Créateur. Dans sa mémoire résonne encore le mensonge du serpent : « Vous serez comme des dieux. » Sa science n’est plus une science à l’écoute des lois de la nature, elle est une science qui veut dominer et singer la Création. Pour toujours plus d’argent, ils ouvrent de nouveaux marchés toujours plus au cœur de l’intimité de l’homme : marché de la grossesse avec la GPA, marché de l’avortement et de la pilule, marché de la mort par l’euthanasie et le suicide assisté, marché de l’orgueil demain en promettant la vie éternelle par un transhumanisme toujours plus fou.

« Vous serez comme des dieux » dans l’esprit des uns, « sacrifions aux idoles » dans l’esprit des autres. Nous sommes si loin des mots qu’Adam entendit de la bouche de Dieu : « car tu es poussière et tu retourneras à la poussière. »

Car tu es poussière… Il fut une époque où des hommes du monde et de l’Eglise disposaient dans leur bureau un crâne, réel ou en peinture, dans le but de ne jamais oublier la finitude de la condition humaine. Memento mori… Souviens-toi que tu vas mourir, « car tu es poussière ». Pour être de bons chrétiens, nous devons avoir dans un coin de la tête notre memento mori. Ainsi, nous ne cesserons d’oublier que nous sommes de passage sur terre, que notre vraie patrie est le Ciel, que ce qui nous entoure est don de Dieu pour nous aider à aller vers le Ciel, que ce don vivant dans la nature ne nous appartient pas et doit être transmis à nos enfants, qui eux-mêmes, en auront besoin pour aller au Ciel. Le bon chrétien n’est ni un faux-dieu gavé de technologie, à la recherche incessante de richesses et de pouvoir et se languissant après la vie éternelle, ni un animal ou un esclave devant adorer une nouvelle déesse faite de bois et d’argile pour en éviter le châtiment. Non, le bon chrétien est un homme, une femme, un Enfant de Dieu, libéré par la grâce, héritier de l’héritage du Christ au Paradis, de passage ici-bas, car dans son esprit résonne la vérité : « tu es poussière et tu retourneras à la poussière. »

 

 Louis d’Henriques

 

La fameuse tarte Tatin

 

Ingrédients pour 6-8 personnes :

Pour la pâte : 160g de farine / 100g de beurre / 40g de sucre glace / 20g de sucre / 20g d’amande en poudre / 1 jaune d’œuf / 1 pincée de sel. Ou pâte sablée prête à l’emploi si l’on est pressé ! Mais quand on a le temps, « fait maison », c’est toujours plus goûteux !

Pour le contenu : 8 pommes (plus il y en a, meilleur c’est !) / 150g de sucre / 80g de beurre.

Préparation :

– Préparez la pâte en mélangeant la farine, les sucres, la poudre d’amande et le sel. Faites un puits et placez au centre le beurre tempéré coupé en dés et le jaune d’œuf. Pétrissez jusqu’à ce que la pâte forme une boule homogène.

– Préchauffez le four à 180°C.

– Dans une casserole, faites fondre le sucre et le beurre et laissez cuire jusqu’à l’obtention d’un caramel doré. Versez-le aussitôt dans un moule à manqué de 24 cm de diamètre.

– Epluchez les pommes et coupez-les en quartiers. Placez-les sur le caramel, et essayez de combler au maximum les espaces par de petits morceaux de pommes.

– Etalez la pâte sablée sur un plan de travail légèrement fariné. Déposez-la sur les pommes et rentrez le surplus de pâte à l’intérieur du moule.

– Mettez au four pendant 35-40 minutes. A la sortie du four, passez un couteau tout autour de la pâte. Posez un plat sur le moule et retournez. Attention aux éclaboussures de caramel !

Conseils et astuces :

Elle peut se faire la veille. Il faut seulement la mettre au frais. Le lendemain, la faire tiédir au four avant de la démouler (le caramel sera bien fondu). Cette tarte se mange froide ou tiède. Pour les gourmets, elle peut être accompagnée de glace vanille, de chantilly ou de crème anglaise !