Si les religieuses contemplatives ou actives, méritent en plénitude le nom de « mères » que nous leur donnons, c’est que leur cœur a reçu de Dieu la grâce d’être, en plénitude, celles qui offrent leur vie, leur prière et leur dévouement, leur renoncement et leur activité, pour que d’autres, dans tous les domaines, reçoivent la vie, et la reçoivent en abondance. […] C’est toujours à la maternité de l’Église qu’essentiellement elles collaborent.
Marcel Clément, La femme et sa vocation