« Ô jeunes filles, ô femmes, vous êtes des êtres faibles, mobiles et sans défense, mais avec l’union à Dieu, l’adhérence de votre volonté à la sienne, de votre vie à sa Providence, vous devenez fortes, de la force même de Dieu, pourvu que vous le laissiez être votre éducateur, votre précepteur, votre docteur, en un mot votre père !
Votre vie est sublime si vous la comprenez… Arrachez-vous du rivage, gagnez le large, et ramez vers les splendeurs de l’éternelle beauté ! »
Extrait de « Ô Femmes ! Ce que vous pourriez être » – G. Joannes