Afin que le sourire du Bon Dieu soit contagieux, voici quelques gestes de politesse qui ne sont pas superflus dans nos relations avec ceux que la Providence place un instant sur notre chemin.
Détecter les personnes qui en ont besoin pour leur proposer notre place assise dans les transports en commun ;
Laisser passer les plus pressés dans la bousculade des sorties de lieux publics ;
Retenir le portillon du métro ou la porte de l’ascenseur pour la personne qui nous suit ;
Eviter de taper des pieds ou de parler à haute voix dans l’escalier de notre immeuble quand nous rentrons tard ;
Proposer aux anciens de les aider à traverser ou de porter leurs cabas pendant un bout de chemin ;
Sourire à l’importun qui vous demande son chemin (ou un euro !) ;
Dire un petit mot encourageant à la caissière qui ne voit que des visages fermés toute la journée ;
Présenter ses excuses quand on a bousculé quelqu’un : « J’espère que je ne vous ai pas fait mal ! » ;
Et vous aurez sans doute d’autres idées de ces gestes qui ne sont pas de froids gestes « citoyens » ou une simple politesse, mais de petites attentions qui montrent à notre prochain qu’il est quelqu’un qui mérite le respect des enfants de Dieu. Bien sûr, cela ne veut pas dire être bonasse, mais autant qu’on le peut, montrer que c’est toujours possible d’être aimable. N’oublions pas d’accompagner tous nos bons gestes d’une prière intérieure pour la personne croisée et d’une invocation à son Ange Gardien ; ainsi nos actes auront une dimension bien supérieure !