Je t’aime bien, P’pa !

Il ne suffit pas à un fils de dire à son père : « Je t’aime bien, P’pa ! » pour lui payer sa dette filiale. Cette dette est un amour fait de respect et de subordination, non pas seulement de tendresse et d’éventuels secours. Nous avons un peu oublié ces choses.

P. Sertillanges